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 présentations de hk perso

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MessageSujet: présentations de hk perso   présentations de hk perso EmptyVen 7 Fév - 20:14

Invité a écrit:


    votre histoire
    I Want to break free ~l'enfance est une période d'innocence naive qui ne termine jamais.   Il était une fois, le fils du Ciel et de la Terre, qui ne pouvait pas devenir roi. Il voulait devenir le plus grand roi que la terre eut jamais connu. Alors il dévora son père et il devint UN OGRE ! Pour survivre, un ogre a besoin de sa ration de chaire fraiche et de sang. Alors il dévorait ses fils. Mais un jour, l'un d'entre eux s’échappa, et il vécut caché. Jusqu'à ce qu'il décida de se venger. Il éventra son père et il sauva tout ses frères et soeurs... La Seconde génération prit la place de la première. Qui avait régné pendant beaucoup trop longtemps. Elle est née aux Etats-Unis, dans la ville encore modeste de Philadelphie. Son père était révèrent, et sa mère une femme douce et gentille. Elle avait un frère de trois ans son ainé, et elle était une jeune femme belle. Enfant déjà elle avait un regard bleu profond, et de longs cheveux blonds. Son père avait dans l'idée d'en faire une femme de Dieu, et dés son plus jeune âge elle fut envoyer dans les lycées Protestants, entourés de soeurs et de religieuses. Beaucoup la décrivait comme étant une enfant turbulente et méchante. Une enfant du diable disait-on parfois, et cela mettait son père dans un état de colère tel qu'elle en garda les cicatrices sur le dos et les fesses. Elle avait peur de son père, et c'est pourquoi dés l'âge de huit ans elle se plia à ses exigences. Elle savait que tant qu'elle n'était qu'une enfant elle ne pourrait rien contre lui, et commença à jour un rôle pour le contenter. Elle suivait assidument les cours dans son lycée religieux, bien qu'elle ne fut pas une bonne élève. Elle rêvait d'évasion, de chaleur, de champs, d'étang, de chevaux. Elle n'avait que la Bible et l’Ostie pour occupations. Jamais elle n'avait pu se satisfaire de ce qu'elle avait. Elle essayait par tous les moyens de changer, de s'évader, de devenir quelqu'un d'autre. Mais elle en revenait toujours à Dieu et à la chasteté. Son père renvoya tous les hommes qui l'entouraient, et à vingt ans elle était encore seule. Elle entama des études pour devenir infirmières grâce aux corps enseignants religieux. La guerre d'Indépendance faisait rage depuis deux ans, quand elle arriva sur le front. Son frère était un soldat, marié, et avait déjà un enfant. Elle adorait son frère, qui était la seule personne dans sa famille à comprendre son désire de voir le monde. Ils étaient particulièrement proches, et être infirmière dans les mêmes zones de combats que lui était une sorte de soulagement pour elle. Elle espérait pouvoir de fait veiller sur lui comme il veillait sur elle depuis des années. Dans le même corps d'armée que son frère se trouvait un homme, brun, avec des yeux ténébreux, mais un air mutin. Il tomba amoureux d'elle dés le premier jour, et il paradait, essayant de la séduire par tous les moyens possibles. Lui promettant de l'amener voir le monde, de la libérer de sa famille, d'être tout pour elle, et plus encore. Des paroles qu'elle trouvait insensées, mais qui l'appelaient telle la promesse d'une vie rêvée, fantasmée. A portée de main...   Tic... tac... Boum. Une bombe, une seule. Les morceaux d'humains volèrent autour d'elle. Elle était choquée, traumatisée, désemparée. Elle ne comprenait pas ce qu'il se passait. Ses oreilles bourdonnaient, alors que dans le creux de ses mains gisait le corps de son frère mort à la guerre. Un cauchemars. Une pensée, un souvenir qu'elle gardait tel qu'elle. L'annonce de la mort de son frère lui fit l'effet d'une bombe. Alors elle comprit que tout était perdu. Qu'ils ne gagneraient pas la guerre. Qu'elle avait vingt-six ans et qu'elle n'avait jamais vécu sa vie. Alors, prenant la main de son soldat, elle partie. Ils coururent tous les deux à travers les vastes prairies, les champs délabrés, les maisons en ruine, les ruisseaux sanguinolents. Ils prirent le train clandestinement. Ils se promirent une nouvelle vie. Loin de la guerre. Loin de Philadelphie. Loin des hommes. Seuls, tous les deux. Elle ne se souvient plus à présent si elle aimait cet homme. Il l'avait sauvé. Il l'avait condamné. Il l'avait tué. Il était mort dans ses bras. Ils se trouvaient près d'Atlantic City lorsqu' il les trouva. Lorsqu'il le dévora sous les yeux encore purs et enfantin de la belle enfant. Une enfant qui s'était gorgée de rêves et de pensées chrétiennes. Une enfant qui alors avait encore foi en l'homme et en l'amour. Une enfant qui n'était pas une enfant de dieu. Mais belle et bien une âme damnée. I'm just a girl ~l'éternité est une chimère, un mensonge emporté par les ombres. Il était une fois, le fils du Ciel et de la Terre, qui ne pouvait pas devenir roi. Il voulait devenir le plus grand roi que la terre eut jamais connu. Alors il dévora son père et il devint UN OGRE ! Pour survivre, un ogre a besoin de sa ration de chaire fraiche et de sang. Alors il dévorait ses fils. Mais un jour, l'un d'entre eux s’échappa, et il vécut caché. Jusqu'à ce qu'il décida de se venger. Il éventra son père et il sauva tout ses frères et soeurs... La Seconde génération prit la place de la première. Qui avait régné pendant beaucoup trop longtemps. L'homme qui les avait trouvé était une âme damnée pour l'éternité. Un vampire, dont le nom ne vous sera pas dévoilé pour le moment. Et sans doute à jamais. Elle gardait son nom précieusement en elle, dans un cœur brisé. Il avait eu le désir de faire d'elle sa femme, ou sa poupée. Sa marionnette. Faible, innocente, perdue, et assoiffée, elle lui avait été soumise durant des années. Elle l'aimait d'un amour passionnel et cuisant. Elle ne pouvait pas se soustraire à son regard, ayant l'impression de ne vivre que par, et pour lui. Il était son amant, son maitre, et le seul vampire qu'elle connaissait. Durant des années il n'y avait que lui dans son univers. Il lui apprit à tuer, à aimer, à souffrir. Il fit avec elle des choses ignobles, immorales, incroyables. Lentement, il insinua en elle l'idée du mal, du sadisme, de l'amour, et les lia de telle sorte qu'elle ne puisse concevoir les uns dans les autres. Elle n'avait plus foi en Dieu mais uniquement en lui. La dépendance qui la liait à lui telle une drogue la rendit folle. Et un jour, la lassitude gagna les jeux de son créateur. Il la mena en Écosse, dans des châteaux immenses, observant le monde du haut de sublimes falaises. Où finalement un soir il la laissa. Partant un instant chercher du gibier, il n'en revint pas. Durant des heures, elle attendit, en haut de son rocher, les cheveux dans le vent. Patiente. Espérant. Mais jamais il ne revint. Elle se cacha durant un mois. Entrant dans le château la journée, et sortant l'attendre la nuit. Quand elle comprit qu'il ne reviendrait pas, elle ne trouva qu'une seule solution à sa douleur, et à sa solitude. Un dernier lever de soleil. Lorsqu'il la trouva, elle se trouvait assise en haut de la falaise, regardant ses pieds qui pendaient dans le vide. Il n'était pas spécialement beau, et ne ressemblait en rien à l'homme qu'elle avait aimé. Il ressemblait à son grand frère, mort des décennies auparavant. Il s'appelait Seth, disait-il. Et quelque chose dans sa voix la rassura. Alors, lorsqu'il lui tendit la main elle ne put que la prendre et accepter son aide. Durant des années elle resta enfermée, n'acceptant la présence que de Seth et d'Esfir à ses côtés. Elle en profita pour apprendre près d'une trentaine de langues différentes, la culture de diverses peuplades. Les lois aussi de chaque pays, l'histoire des communautés, et des siens. Elle se cultiva, étant d'une nature curieuse. Elle commença à retrouver gout à cette vie qui était à présent éternelle. Elle sortie et retrouva la lumière blafarde de la lune. Dans sa communauté, elle trouva une place forte près de César, en tant que conseillère, ou plutôt chargé des relations entre les différentes communautés de vampire dans le monde. C'est à force de temps, de travail, et de persévérance qu'elle en est arrivée là. A présent, elle commence à se reconstruire. A devenir quelqu'un, en dehors de la poupée brisée qui avait été laissé pour compte dans un château en Ecosse.  
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    Hello guys! Moi c'est BPR™, je suis du genre androgyne et j'ai 19 ans dans 4 jours !J'ai connu Heartkiller grâce à Sethounamourdemavie , et je le trouve superbementtropbeauquidéchiiiiiiiiiire o/ .Vous voulez savoir si vous pouvez faire de mon personnage un prédéfini si jamais je suis supprimé(e)? Et bien la réponse est: OUISinon, j'ai bien lu le règlement, et le code à retrouver est: OK par Rozy

" I'm the "who" when you call "who"s there" ? "
Innocence Echo-Alice Sunshine



Je m'appelle Innocence Echo-Alice Sunshine mais mes amis me surnomment Sun, Echoes, Inno.. Je suis né(e) à Philadelphie le 23/08/1750 et de ce fait j'ai donc 262 ans.
J’exerce le métier de négociatrice des accords administratifs entre les différentes contrées du monde où vivent les vampires et côté cœur je suis libertine et naïve. Côté orientation sexuelle, je suis bisexuelle.
On dit de moi que je suis plutôt déterminée, impatiente, optimiste, sadique, joueuse, extravagante, stratège, joyeuse, curieuse, séductrice, ambitieuse.. J'appartiens au groupe des vampire et il paraît que je ressemble à Jessica Stam.

crédit icons : bazzart ; crédits avatar : google ; fiche réalisée par Eden ; modifications par Yuuki.
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MessageSujet: Re: présentations de hk perso   présentations de hk perso EmptyVen 7 Fév - 20:15

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    votre histoire
    Il ferme les yeux et cherche dans ses souvenirs. Il essaye de se souvenir, de toutes ses forces il essaye mais il a du mal. 300 ans de vie à remonter, des choses à oublier et d'autres à changer. Il se rappelle d'un petit enfant brun courant dans les champs entourant Prague, de son père courant avec lui et de sa mère les baignant dans son regard bienveillant. Il se souvient des longues nuits d'hiver passés au coin du feu alors que dehors le vent et la neige recouvraient la République Tchèque. John Ondrej Constantine, un enfant désiré, aimé. Un fils unique qui avait émerveillé ses parents en venant au monde, cet enfant brun comme la nuit était le digne reflet de son père, à qui il ressemblait un peu plus chaque jour. Les airs de son géniteur et le visage doux de sa mère. Dieu qu'il pouvait les aimer ! Il avait grandi entouré d'amour, de tendresse et d'attention. Une chance pour l'époque, quand il était venu au monde les parents ne montraient pas leur affection à leur enfant cela ne se faisait pas. Son père était un fier banquier de Prague qui avait commencé en bas de l'échelle et avec le temps et du travail il était devenu une des puissances de la ville. Offrant à sa famille de quoi vivre bien et une réputation de nouveau noble. John avait eu l'éducation qui allait avec, les meilleurs professeurs, les cours sur les bonnes manières et des réceptions gigantesques où s'entassait tout le beau monde de Prague. Il essaye de se rappeler de son adolescence, elle est si loin maintenant qu'il dot se concentrer pour arriver à distinguer des souvenirs. Il ne c'est jamais marié, ses parents voulaient le meilleur pour lui et pour cela ils ont acceptés qu'il attende. De toute façon aucune femme n'arrivait à retenir son attention, il papillonnait simplement entre les femmes et d'une manière plus caché, les hommes également. Il avait passé ses diplômes pour devenir avocat et c'est avec succès qu'il devint l'un des meilleurs avocat de Prague, toujours en menant sa vie de bohème sans songer à l'amour. Ho bien-sûr ses parents l'avait promis à une jolie jeune fille de bonne famille, mais il ne l'aimait pas. C'était idiot à dire mais pour lui l'amour et la passion comptaient plus que tout. Il se contentait donc de faire bonne figure, de rencontrer cette demoiselle sans jamais la faire sienne. Il savait que l'amour l'attendait quelque part, sans savoir l'expliquer il le sentait. Ses parents étaient devenus âgés maintenant et dans leur maison familial il s'en occupait du mieux qu'il pouvait, il ne songeait pas à les quitter. Après tout il n'était peut-être pas fait pour le mariage c'était aussi possible. Et les enfants ? Un jour peut-être mais pas maintenant.Et puis un soir tout bascula. Ils étaient tranquillement installé chez eux, John à l'étage pour travailler ses dossiers et ses parents en bas s'occupant de différentes taches plus ou moins importantes. Il se souvient de l'ambiance électrique dans la maison ce soir là, comme si quelque chose n'allait pas. Il se souvient... Et c'est ça qui le blesse le plus. Il n'a plus rien entendu à part une porte qui claque et les cries de ses parents. Comme tout enfant il c'est précipité en bas et il n'a senti que la morsure, comme une bête qui l'attaque à la gorge. Et un venin, une douleur se diffusant dans son corps, déliant chacun de ses muscles au point de le faire hurler à plein poumon. Un poison si douloureux qu'il en serait devenu fou. Et puis un liquide qui coule dans sa gorge, quelque chose qu'il ne connaît pas. Et le noir complet, la mort et le froid. Il n'est plus rien, il n'existe plus. Alors c'est ça la mort ? Le néant complet, le silence ? In nomine Patris, et Filii, et Spiritus Sancti. Amen. Au nom du père, du fils et du saint esprit. Amen.Il à ouvert les yeux, il avait changé il en était sur. Il était toujours par terre, allongé sur le sol baignant dans du sang. Les corps de ses parents tout autour, l'incompréhension. Il se souvient des 3 hommes qui ont ravagés sa vie, mais il n'arrive pas à se rappeller de leur visage. Il sait qu'ils ce sont battus et qu'ils étaient jeune. Il était un nouveau né sa force était doublé, il les à tué et pour cela il ne devrait même pas être en vie. Il ne savait pas ce qu'il était mais il avait changé, il avait tué ces 3 hommes qui lui avaient appris qu'ils voulaient faire de lui un incube ou... Un garde. Quelque chose comme ça. Ses souvenirs se troublent il a du mal encore une fois. Il ferme les yeux et ses actes lui reviennent. John à prit des souvenirs de ses parents et à tout emporté dans un sac, il les a pleuré oui pendant des longues heures. Mais il ne pouvait pas rester, c'était partit ou mourir. Comme un lâche il a choisi de fuir. Il se souvient de la soif encerclant sa gorge jusqu'à le rendre fou, de son dégoût pour lui même. Si bien qu'il c'est d'abord attaqué à des pauvres, des malades, refusant de s'en prendre à des humains valides. Oui il n'était plus humain, et comme un vrai passionné de livre il c'est mit à lire sur cette nouvelle condition. Un vampire, tout concordait avec ses nouvelles aptitudes, la force, la vitesse, l'appel du sang, la régénération quasi instantanée, fuir le soleil. John cligne des yeux pour revenir à la réalité mais il n'a pas fini de plonger dans ses souvenirs, il repart pour un long voyage, le plus beau et le plus douloureux de sa vie. Alors il a voyagé pendant des années, petit à petit il a accepté sa condition et il chassait pour s'amuser, prenant plaisir à ce qu'il était devenu. Sans se mélanger à ses congénères il faisait sa vie, cherchant un point d'accroche à quelque chose, désespérant de trouver un sens à sa vie. Et puis il l'a vu, elle la future femme de sa vie. Il l'a aimé au premier regard, il en est tombé fou. Si bien qu'il a tué l'homme qui l'accompagné pour faire d'elle son Infant et son amour. Il n'a pas été tendre avec elle, il a joué, il l'a faite souffrir. Elle était sa création et sa poupée, son premier amour et sans doute le plus destructeur. Pendant 100 ans il ont vécus l'un avec l'autre, se nourrissant parce l'autre le faisait également, n'étant quelqu'un que dans le regard de sa Alice, sa douce, sa vie. Et puis il l'a quitté sans même le lui dire, l'abandonnant en Écosse. Comme un lâche, jugeant qu'il devenait trop important pour elle et prenant peur de son amour il l'a laissé, lui laissant son cœur et sa raison.Il est reparti et comme la bête qu'il avait toujours été il à recommencé à tuer, il n'a fait que ça, passant sa haine et son désespoir dans la mort. Effaçant des villages entiers de la surface de la terre sous la colère. Jugeant qu'il ne méritait pas de mourir après avoir osé tant faire souffrir son seul et unique amour il est parti sur une île nommé HeartKiller pour espérer faire quelque chose de sa vie, être utile. L'empereur à fait de lui son avocat personnel avant que John ne soit mis dehors de cette petite île. Et puis il l'a retrouvé elle, il à cru mourir de bonheur avant de se rendre compte qu'il ne l'avait ravagé plus qu'il ne le croyait. Elle avait voulue mourir, disparaître à tout jamais de cette terre car son créateur l'avait abandonné. Il c'est détesté et puis elle à pardonné, ainsi va l'amour qu'ils se portent, ils se font mal et ils se pardonnent.« Papa !!!! » Il réceptionne le petit homme en souriant, il le serre contre lui après lui avoir déposé un baiser sur le front. « Il devenait intenable sans toi ! » La seule et unique femme de sa vie se penche et dépose un baiser sur ses lèvres, il savoure cet instant en soupirant de bonheur. « Je vous aime. » Sa femme et son fils se regardent sa comprendre. Pourquoi cet élan d'amour tout à coup ? Il ne le sait pas lui même. Plonger dans ses souvenirs lui à fait tant de mal qu'il savoure sa nouvelle vie et son bonheur retrouvé. Il regarde Alice sa future femme, Dieu qu'il l'aime. Son fils dans ses bras se serre contre le torse de son père, John lui dépose un baiser sur le front. Son fils, petite être qu'il a adopté qui est vampire également. Petit rayon de bonheur dans son ciel noir recouvert de nuage. John se lève et passe un bras autour des épaules de sa compagne, il la serre contre. Il n'est plus seul, ils sont là. Signe Particulier : Une cicatrice dans le cou,trace indélébile de ma morsure. Et une marque sur le torse, signe que mon amour est pour Echo-Alice
    ••••••••••••••••••••••
    Hello guys! Moi c'est Manon, je suis du genre féminin et j'ai 18 ansJ'ai connu Heartkiller grâce à une amie, et je le trouve super puisque je me suis inscrite lol.Vous voulez savoir si vous pouvez faire de mon personnage un prédéfini si jamais je suis supprimé(e)? Et bien la réponse est: OUISinon, j'ai bien lu le règlement, et le code à retrouver est: OK par Rozy

" On se reverra la ou il n'y a plus de ténèbres "
John Ondrej Constantine



Je m'appelle John Ondrej Constantine mais mes amis me surnomment John. Je suis né(e) à Prague le 05/12/1682 et de ce fait j'ai donc 330 ans.
J’exerce le métier de Avocat et côté cœur je suis Célibataire. Côté orientation sexuelle, je suis Bisexuel.
On dit de moi que je suis plutôt Gentil et Genereux avec ceux que j'apprécie,drole et dragueur aussi, curieux quelque fois. Mais aussi cruel,sadique,manipulateur,
dangeureux,sanguinaire et traqueur.
. J'appartiens au groupe des Vampire,noble et il paraît que je ressemble à Keanu Reeves.

crédit icons : écrire ici ; crédits avatar : écrire ici ; fiche réalisée par Eden ; modifications par Yuuki.
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MessageSujet: Re: présentations de hk perso   présentations de hk perso EmptyVen 7 Fév - 20:15

Invité a écrit:

☇ Judas Abel Levinson Blackwood
“ UNE PETITE CITATION COURTE ICI POUR FAIRE ZOLI ”

☇ Incube
FEAT. Charlie Hunnam
PRENOM(S) & NOM : Judas Abel Levinson Blackwood
SURNOM : Le voleur d'âme. Parmi les incubes de ce monde, car il n'hésite par à réduire à l'état de loque humaine ses victimes pour les rendre obéissante. Mais Mammon dans le club des damnés.
DATE & LIEU DE NAISSANCE : En 950 quelque part dans l'actuelle Amérique. Autrefois terre des nouveaux Viking. On ne connaît pas la date exacte, ce n'était pas important à l'époque. D'après les dires de sa mère, il faisait beau et chaud quand il à vu le jour, sans doute en plein été.
AGE : 1063 mais 28 en apparence.
MÉTIER : Il à tout fait, diplomate, avocat, incube aujourd'hui...
STATUT : Marié au souvenir de sa sœur.
ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel, pourquoi s'arrêter à des conventions ?
CARACTÈRE : Courageux, combattant, noble, valeureux, généreux, juste, charmeur, un grand sens oratoire mais aussi cruel, sadique, colérique, renferme une haine sans égale, pervers, nymphomane.

☇ LE QUESTIONNAIRE HEARTKILLIEN
▬ comment considérez-vous la famille Bridgestone ? avez-vous une relation spéciale avec eux ?

L'actuel souverain ne mérite pas le surnom de « Roi » ni même que l'on s'agenouille face à lui. Il n'est rien pour moi, sauf le pale reflet d'une trahison de la plus haute importance qui mériterait d'être punis.

▬ que pensez-vous de la condition des esclaves/humains sur l'ile ? pour ou contre leur traitement ?

Sérieusement vous pensez que j'en ai quelque chose à faire ? Je suis moi même un esclave en quelque sorte, un incube. Bon certes je ne suis plus humain depuis... Longtemps, mais les esclaves de l'île leur sort m'est indifférent.

▬ comment trouvez-vous heartkiller ? la ville en elle-même, son organisation, son climat, ses habitants.... ?

Elle ressemble à tant d'autre ville que j'ai déjà vu. Même climat, ambiance... Tout cela me parait bien monotone et habituel.

▬ avant d'arriver sur HK, quelle était votre opinion sur les rumeurs englobant le triangle des Bermudes ?

Je savais ce qu'il se passait bien-sûr, sans prêter attention vraiment aux rumeurs.

▬ craignez-vous la furie des derniers levinson ? d'ailleurs, qu'évoque pour vous la chute du roi allan levinson ?

C'est une honte que notre famille ai été si lâchement jeté aux oubliettes et bafoués de la sorte ! Nous attendons notre revanche, j'ose croire en cela. Ma maitresse, Satyne aura l'ascendant sur son frère ainé cela ne fait aucun doute.

▬ et enfin, question piège, que pensez-vous des adminettes ? Qui est la plus folle ? La plus sexy ? La plus chieuse ? dites-nous tout...

La plus folle : Esfir sans doute, ses cookies font peur.
La plus sexy : Ma femme powaaaaaa !!!!!!
La plus chieuse : Gabichou il est laid !
Les autres de mes amours de ma vie, Aarnichou, Zephyr, Kaynou de ma vie je vous aime !!!!



PRÉNOM/SURNOM : Manon héhé !
AGE : 19 ans
SEXE : Demandez à ma femme
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Je couche avec l'admin, ça aide !
ET COMMENT TU LE TROUVES? Pas mal !
EST-CE QUE VOUS SOUHAITEZ ETRE PARRAINE ? LOL c'est moi le parrain s'il te plait !
PEUT-ON ON FAIRE UN PREDEFINI DE VOTRE PERSO. SI VOUS ETES SUPPRIME ? OUI si l'histoire est bonne et qu'on veut la réutiliser !
CODE RÈGLEMENT : Ok par John ! Je m'auto valide mon code !


Invité a écrit:

☇ VOTRE HISTOIRE
“UNE PETITE CITATION COURTE ICI POUR FAIRE ZOLI ”
Vivre avec ses deux parents est une bénédiction, chérissez chaque moment avec eux, ils sont précieux.

« J'attends un enfant Allan... » L'homme relève la tête et éclate de rire, il pense d'abord à une blague, une tentative pour le retenir et avoir de l'affection. Et puis il comprend que ce n'est pas une mascarade, que c'est vrai. Il va être père dans quelques mois, un autre Levinson, un autre hériter mais qui, celui-ci n'aura pas le destin de ses enfants légitimes. L'humaine tourne le dos et part sans demande son reste, elle n'attend rien, pas une démonstration d'affection ni même une parole tendre. Elle veut juste prévenir le père, qu'il ne soit pas mis sur le fait accompli et qu'il sache que dans neuf mois un enfant de son sang arrivera. Elle, c'est mère d'Abel. Une simple humaine que le vampire à séduit, Allan enchaîne les femmes ce n'est pas nouveau, et encore une fois une mortelle aura fait les frais de son appétit démesuré. Elle est la nourrice d'Elysium, l’héritière officielle de la couronne et fille légitime d'Allan Levinson et de la reine. Abel lui ne sera rien, il ne sera qu'une ombre et, au mieux, pourra connaître son père.

Judas Abel Levinson Blackwood

Je donnerais tout pour retrouver les paysages de mon enfance.

Neuf mois plus tard c'est dans une petite chambre de bonne qu'Abel voit le jour. Il est petit, chétif et maigre, nul doute qu'il aurait succombé à une maladie si il n'avait pas été vampire. Mais parfois la vie fait bien les choses et le notre nature n’a pas été choisie par hasard. On ne peut pas dire que c'est un enfant choyé par ses deux parents, certes sa mère l'aime mais cette pauvre femme travaille nuit et jour pour le compte de Allan Levinson, elle n'a pas le temps de se consacrer toute la journée à son fils. Et son père est un homme absent, il sait qui il est, mais il n'est pas l'héritier au trône et ça fait toute la différence.

L'enfant pleure des larmes de sang, de longues trainées rouges lui barrent le visage lui donnant un air effrayant. Une présence s’assoit à ses côtés, il relève la tête pour tomber sur sa sœur qui s'empresse de le prendre contre elle pour calmer son chagrin. Pendant de longues minutes il pleure, il ne peut se retenir plus longtemps. Sa mère, cette femme qu'il à tant aimé et la seule qui jusque là ne le mettait pas de côtés vient de rendre son dernier soupir. La maladie, la vieillesse et l'épuisement aura eu raison de cette dame âgée pour l'époque. Il pleure son enfance, il pleure sa candeur perdue. Il pleure car à cet instant il devient grand, les portes de son avenir s'ouvre bien trop vite.

Un homme arrive et s'accroupit derrière lui, il lui pose la main sur l'épaule et serre légèrement. Cet homme c'est son père, un père qu'il ne connait que peu, qu'il à déjà vu au détour d'un couloir, entre deux repas, un homme qui ne sait rien de lui et qui pendant des années n'a rien voulu savoir. Abel à 6 ans et il n'est pas tout à fait un homme.

Le jour c'est levé et la vérité c'est installée.

« Père ne m'aime pas Elysium... » Sa grande sœur soupire en entendant son frère parler, elle lève les yeux au ciel avant de le regarder, un léger sourire barrant sa bouche. « Père a de l'affection pour toi petit frère, toi seul ne le voit pas. Tu es son... Fils et héritier reconnu. Il t'aime, mais il compte énormément sur toi. » Elle le prend par le bras et lui fait faire quelques pas en souriant, en un instant elle l'embrasse sur la joue alors qu'il rit, la voyant faire. Elle arrive toujours à lui redonner le sourire, elle est son rayon de soleil.

Il est né vampire et le sera jusqu'à la fin de sa vie. Depuis enfant le soleil lui est mortel, les rayons UV le tueront si il ose sortir en plein jour. C'est sa punition, condamné à ne jamais sentir la chaleur sur sa peau, ne jamais prendre de couleurs et rester blanc comme le marbre. Il ne saura jamais ce qu'est un couché de soleil, il ne le verra jamais en face. Il aura droit à la vie éternelle seulement si il reste dans les ténèbres, c'est sa punition pour se nourrir du sang des humains. Il accepte car grâce à ça il restera jeune, jeune et beau à jamais. Éternellement ainsi. Il est heureux car cela veut dire aussi qu'il passera une éternité avec sa sœur, toujours à ses côtés à chérir chaque moment passé avec elle. Il remercie le ciel pour cela.

Pourtant la vie n'est pas toujours faite comme on le voudrait, et il pense qu'il sera encore puni pour oser tuer. On ne devrait ôter la vie à personne, surtout pas un enfant du seigneur c'est ainsi qu'il le pense. Mais parfois la colère fait faire de drôle de chose, il l'apprendra plus tard. Pour l'instant il profite.

Profite mon petit, la vie va vite, une fois que les choses sont passés tu ne peux pas retourner en arrière. Souris car bientôt tu devras pleurer.

« Attention à ton flanc gauche ! » Il soupire et stoppe le combat. Son père est très à cheval sur les règles, il veut la perfection pour son fils et de ce fait lui apprend le maniement des armes, l'honneur du combat et le respect de son adversaire. Abel est un adolescent, plus proche de l'adulte que de l'enfant certes mais il à envie de s'amuser plutôt que combattre. Mais son père veut le meilleure, alors il lui obéit et travaille, c'est le minimum qu'il puisse faire. Il à été recueilli à la mort de sa mère alors qu'il aurait pu servir de repas voire être tué, il doit tout à son père. Il n’oublie pas sa mère, mais son avenir est sans doute la royauté auprès de sa douce sœur. Il héritera du trône et deviendra conseillé, premier ministre ou bien même Monsieur le frère de la reine Elysium et le fils du roi. Il ne pense pas encore à l'avenir, cela lui fait peur.

Il prend sa main et la fait tourner alors qu'elle part d'un grand éclat de rire, il la prend dans ses bras, la serre et respire l'odeur de ses cheveux. Elle se presse contre lui et lui caresse la nuque comme elle le faisait enfant. Il ferme les yeux, profite un instant de sa sœur, s’enivre de son parfum, se drogue à son rire cristallin qui claque dans ses oreilles. Il n'est rien sans elle, il n'est que le reflet d'une âme vide lorsqu'elle n'est pas là. La Princesse et Le Princesse, Monsieur et Madame Levinson. Ils ne sont qu'un, une même âme dans deux corps. Ils sont fusionnels certes ce n'est pas un secret, si bien qu'on les compare à des jumeaux. Quand on voit l'un, l'autre suit de prêt et l'un ne prend pas les décisions sans consulter sa moitié.

« Pourquoi m'avoir donné comme premier prénom Judas père ? Vous m’aimez si peu ?  » Son père relève la tête de son bouquin et pousse un soupir. Il s'attendait à cette question, il faut avouer que Judas Abel n'est pas commun. « Tu portes le prénom d'un des fils d'Adam et Eve, enfant du seigneur et créateur du monde. Judas est celui qui aurait trahi Jésus mais cela reste peu sur, tu as les prénoms de deux grands de la religion, deux hommes du monde. Sois honoré pour cela, tu seras un grand toi aussi.  » Le jeune adulte hoche la tête et va vers son père afin de déposer un baiser sur la chevalière de la famille Levinson, que son père porte à la main droite.

Ils courent à travers les couloirs du château, évitant comme ils le peuvent les esclaves et les plateaux que ceux-ci portent à bout de bras. Ils rient, sur poursuivent, font une course comme des enfants. « Je vous présente Monsieur le Prince ! » Sa sœur hurle cette phrase, la bras tendus en signe de croix. Elle rit de ses mots si ridicule dans sa bouche. Abel rit avec elle, ils sont essoufflés de leur course interminable. Depuis le matin son père l'a présenté comme prince Levinson à la cour, un petit comité réduit, il vient d'être reconnu comme un héritier. Pour cela il porte à sa main droite la chevalière marquée du sceau des Levinson. Il est fier, fier comme jamais. « Je suis amoureuse Abel... » Ce dernier fronce les sourcils et regarde sa sœur alors qu'il la prend par le bras, écoutant attentivement ses paroles. « Et de qui ma chère et douce princesse ? » Elle est si joyeuse, qu'il à envie de la serrer contre lui. Elle sourit; deux petites fossettes sont dessinés sur ses jours, ses yeux sont pétillants, elle aime pour la première fois il le voit. « Il s’appelle Eleazar Bridgestone... » Ce nom lui dit quelque chose, ce sont les conseillers de son père et des proches amis. Abel sourit, heureux de voir sa sœur épanouie. « Et lui il partage tes sentiments ? » Elle glousse, il prend ça comme un oui. Discrètement il la mène vers les appartements des Bridgestone, il veut voir de plus prêt le promis de sa sœur.

Abel voit la scène au ralenti, il ferme les yeux alors qu'un hurlement de bête sort de sa bouche. Il tombe à genoux, son cœur vient de battre pour la première fois de sa vie. Un seul et unique battement qui vient de lui causer une douleur pire encore que la brûlure de l'argent sur sa peau. Son hurlement s'étouffe dans le cri d'un autre homme, Eleazar se jette sur son frère en hurlant, pour lui ôter la vie. Abel regarde au loin, il ne réalise pas ce qui vient de se passer. Son père est à genoux et va mourir, il semble accepter son sort. Son père à plus de cinq mille ans, il n'a plus toute sa tête et sous son commandement le royaume va mal ce n'est plus un secret. Il l'accepte, à vrai dire il s'en moque. Il se fou de tout à part de sa sœur, sa douce sœur adorée qui n'est plus. Il ne réalise pas, il regarde de loin le tas de cendres qui autrefois était sa perle. Des larmes rouges tombes sur ses joues en rafale, Abel n'arrive plus à se maitriser. « Non non non pas elle non pas Elysium... » Il répète ces mots comme une litanie en se balançant de d'avant en arrière. Il ferme les yeux, pleure, hurle, se griffe et tremble. Pas elle non... « Prince nous devons y aller, venez ! » Un homme le tire vers l'arrière en le relevant péniblement. Il est son bras droit et son garde du corps. Il l'aide à s'enfuir, passer dans les catacombes du château pour prendre une calèche vers la Russie. Avant de partir Abel regarde un dernière visage, un seul et unique. Celui de César, ce traitre. Cette abomination sans nom. Il vengera sa sœur il lui promet.

[i]Cela fait 10 ans qu'il est en Russie qu'il se cache chez ses cousins Levinson, Nikolaï et Nymphea. Il est inconsolable malgré la présence des membres de sa famille qu'il adore. Elysium est morte, elle n'est plus. Elle n'existe plus. Jamais il ne reverra son doux visage, entendra son rire cristallin, respirera son parfum doux. Elle à voulue éviter la mort d'Allan et pour cela c'est interposé, c'est elle qui à pris le coup fatal. Il se repasse toute la journée cette scène, il sent la haine monter.

Il part de la Russie, part arpenter le monde et se racheter une conduite. Pour se cacher il prend le nom de sa mère, Blackwood afin de se cacher au mieux. Il essaye d'oublier, il ne peut pas. Ce serait manquer de respect à sa sœur et ça il ne peut pas l'accepter. Alors il vit avec, il apprend à accepter la douleur qui est pourtant trop forte. Un jour après des années il repart sur Heartkiller. A son arrivée un homme l'accueille, un homme qu'il connait bien et qui partage sa douleur. Un homme brisé. « Bonjour Prince. » Abel hoche la tête et s'empresse de le serrer brièvement contre lui. Un signe comme un autre pour lui témoigner sa présence. « Je suis Abel ici, je ne suis rien d'autre qu'un simple incube. Vous m'avez manqué Eleazar .» Les minutes passent, ils discutent. Ils partagent le même souvenir d'Elysium, ils sont la preuve qu'elle à existé et qu'elle vit encore à travers eux. Abel est heureux de le voir, un ami cher à son cœur plus que ça encore, un frère pur et simple. L'homme que sa sœur à aimé, un homme pour qui il donnerait sa vie.

Il est aujourd'hui sur Heartkiller, en tant qu'incube de Satyne. Lui qui à été un Prince, il se cache sous cette couverture. Il veut tuer César coute que coute, une fois fait il pourra mourir en paix. Ce qu'il s’empressera de faire.  




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MessageSujet: Re: présentations de hk perso   présentations de hk perso EmptyVen 7 Fév - 20:16

Invité a écrit:

☇ LUCIUS VALENTINO LOVATU
“ Les faits des démons Incubes ou Succubes sont si multiples qu'on ne saurait les nier sans imprudence. ”

☇ Incube
FEAT. Jared Leto
PRENOM(S) & NOM : Lucius Valentino Lovatu
SURNOM : On le surnomme Voleur d'ombre car il a la tendance à se glisser dans le dos de ses victimes jusqu'à se fondre en elle.
DATE & LIEU DE NAISSANCE : Rome, 1945.
AGE : 68 ans en réalité, 38 ans d’apparence.
MÉTIER : Aucun.
STATUT : Célibataire.
ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle, à tendances homosexuelles..
CARACTÈRE : Manipulateur – Charmeur – Impulsif – Drôle – Sensible – Passionné – Menteur – Secret – Observateur – Têtu – Possessif – Déterminé – Arrogant – Gentil – Pessimiste – Dur – Non démonstratif – Direct – Egoïste – Malicieux – Taquin – Ouvert – Tolérant – Rancunier – Impatient – Joueur – Fougueux – Loyal – Attentionné – Imprévisible – Sensuel - Indélicat.

☇ LE QUESTIONNAIRE HEARTKILLIEN
▬ comment considérez-vous la famille Bridgestone ? avez-vous une relation spéciale avec eux ?

Je ne connais pas beaucoup la famille Bridgestone, mais ma maitresse travaille pour eux depuis longtemps déjà. Alors je les cotoie de temps en temps. Je ne leur parle pas, mon rang me l'interdit. Ma Maitresse est celle qui fait de longs discours, je me contente d'acquiescer et de faire ce qu'elle me demande. J'ai déjà fait quelques petites missions pour la famille royale de Heartkiller, mais cela reste rare, et c'est uniquement à la demande de celle qui a fait de moi un immortel.
De ce fait, je n'ai pas de relation spéciale avec eux, et je n'en veux pas à tout vous dire. Ils s'occupent de leurs petites vies, je m'occupe de la mienne, et les choses sont très bien comme cela si vous voulez mon avis. Je n'ai pas besoin d'eux, je n'ai besoin que de ma maitresse, et rien de plus. Je les respecte cependant, mais uniquement parce que ma maitresse me le demande, et que je ne ferai jamais rien pour la contrarier.

▬ que pensez-vous de la condition des esclaves/humains sur l'ile ? pour ou contre leur traitement ?

En réalité, j'aurai pu vous dire que je n'en avais rien à faire. Je fais parti du système après tout, c'est grâce à lui que je suis encore en vie plus ou moins aujourd'hui. Mais il y a quelques années j'ai rencontré un humain, et je dois dire que le mener sur l'île fut une des choses les plus dures que j'ai eu à faire de ma vie. A cet instant précis je me suis rendu compte que c'était une manière de faire cruel et injuste. Que certains humains ne le méritaient pas... Ou plutôt que Lui ne le méritait pas. C'est sans doute pour cela que j'ai voulu le laisser partir. Mais n'en parlait à personne ! C'est mon petit secret.
Pour le reste, les vampires peuvent bien traiter les esclaves comme ils le veulent, tant que je n'ai pas à faire de même je m'en contre fiche. J'ignore les humains, je n'arrive plus à les regarder en face. Je les attaque de dos, je joue avec eux. Je ne vois plus des humains mais des jouets, de la bouffe sur pattes tout au plus. Je ne croise pas leur regard, je ne vois que du vide quand ils pensent que je les regarde eux. Je ne vois que Lui, Son regard, Son sourire, Son corps. Je n'arrive plus à le sortir de ma tête. Alors je le venge sur tous les autres. Je les fais souffrir.

▬ comment trouvez-vous heartkiller ? la ville en elle-même, son organisation, son climat, ses habitants.... ?

La vie à Heartkiller n'est pas si mal, même si elle n'est pas aussi agréable que la vie dans ma Rome natale. J'avoue que Rome me manque, c'était une ville extraordinaire, où les gens semblaient vous chanter sans cesse. Heartkiller est bien plus sombre, plus lourde, plus chaude. Mais en contre partie on trouve toujours de quoi faire sur l'île. Chasser, jouer, manger. Il ne me faut rien de plus à présent. Je ne suis pas quelqu'un de difficile, vous le remarquerez.

▬ avant d'arriver sur HK, quelle était votre opinion sur les rumeurs englobant le triangle des Bermudes ?

Je n'y faisais pas vraiment attention. C'était ... une information comme une autre. Quelque chose que j'entendais de temps en temps après un énième crash d'avion dans cette partie-là de la surface de la terre. Mais cela ne m'inquiétais pas, cela ne m'intéressais même pas. Je restais insensible à cette information, bien trop éloignée de moi.

▬ craignez-vous la furie des derniers levinson ? d'ailleurs, qu'évoque pour vous la chute du roi allan levinson ?

Je me fiche complètement de ces Levinson. Ils ne m'inquiéteront que s'ils attaquent un jour et que l'on m'ordonnait de prendre part aux batailles, mais je doute que cela soit sur le point d'arriver. Après tout, les Bridgestone sont bien trop forts pour qu'on ait envie de leur chercher des ennuis.

▬ et enfin, question piège, que pensez-vous des adminettes ? Qui est la plus folle ? La plus sexy ? La plus chieuse ? dites-nous tout...

La plus folle c'est Esfir What a Face
La plus sexy c'est ma Chérie :32:
La plus chieuse c'est Aaron :nop:... ou alors peut être moi What a Face
:sors::sors::sors:



PRÉNOM/SURNOM : DIEU :devil3::devil3:
AGE : :nop::nop:
SEXE : F ou M ou autre ? What a Face
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : That is the question :32:
ET COMMENT TU LE TROUVES? Parfait, normal *x*
EST-CE QUE VOUS SOUHAITEZ ETRE PARRAINE ? Owi tient pourquoi pas ? :devil3::sors:
PEUT-ON ON FAIRE UN PREDEFINI DE VOTRE PERSO. SI VOUS ETES SUPPRIME ? OUI, il l'est déjà *x*
CODE RÈGLEMENT : validé par GG, qui voit tout, qui sait tout :siffle:


Invité a écrit:

☇ VOTRE HISTOIRE
« Qui recherche la lune, ne voit pas les étoiles. »


Je n'ai pas peur de la mort, je n'en ai jamais eu peur d'ailleurs. La mort n'est que la suite logique d'une vie bien remplie, et déterminée par nos actes. Je n'ai jamais eu de raison de craindre la mort, car je savais qu'elle arrivera de toute façon. Pourquoi avoir peur de l'évidence, de l'inexorable. J'avais bien plus peur de vivre, car on ne sait jamais ce que la vie nous réserve, on ne sait jamais ce qu'il va se produire, ce que l'on va devenir, ce qu'il va nous arriver. Je suis de ceux qui ont soif de vie, mais qui ont peur de ne pas maitriser les éléments. J'ai prié pour être le maitre de ma destinée, pour avoir le choix d'être celui que je voulais. Et je suis mort. Ou plutôt on m'a accordé de ne pas vraiment mourir. Jamais.  
J'ai grandi, je suis devenu un autre. Je n'ai plus peur du noir, je n'ai plus peur de la solitude, ou de la fin des temps. Je n'ai plus peur de rien, je me regarde dans le miroir sans détourner le regard, et je souris. Je me trouve beau, avec cette peau blafarde et de regard pervers. Je crois que je devine ce que les autres voient et qui leur plait. Chaque soir, je sors et je les dévore. Ces enfants de mes rêves sanguinaires. Ils ne survivent jamais, ils ne terminent jamais la nuit. Je suis le Croque-mitaine, le monstre sous le lit, dans votre dos, dans vos cauchemars. Je suis votre idole, votre idéal, votre désir. Je ne suis plus moi. Je ne suis personne. Je suis votre.

« Etre vaincu parfois. Etre soumis jamais. »


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MISTRESS — Est-ce que tu as peur de la mort ?
LUCIUS — Autant que vous avez peur du noir.
Elle se mit à rire, et Lucius ne put s'empêcher de sourire, attendri par la réaction de cette femme étrange qui venait de le retrouver. Il était drogué, vivant parmi de pauvres êtres perdus et esseulés. Rome était une belle ville, certes, mais c'était aussi le garde fou d'âmes en perdition. Lucius en faisant parti depuis trop longtemps à présent, et il accueillait cette jeune femme avec bonheur. Cela faisait deux heures à présent qu'ils discutaient tous les deux. Il la voyait à la manière d'une déesse. Blanche, lisse, parfaite, elle était très séduisante, et il sentait déjà quelques élans d'amour envers elle, sans que cela ne soit causé par une désir pervers. Il préférait les hommes, raison de sa présence dans une maison hantée et en morceaux. Il laissa tomber la bouteille qu'il tenait à la main et tendit un bras vers elle. Sans un mot, elle prit sa main dans la sienne et l'aida à se relever. Sans forcer, il se sentit soulever du sol et se retrouva face à elle. Il était plus grand qu'elle d'une dizaine de centimètre mais il sentait pourtant qu'il n'était pas à son avantage. Qu'elle était plus forte que lui. Qu'il ne pourrait sans doute rien y faire.  Il restait à l'observer, silencieux, fasciné par sa prestance et sa beauté sans pareil. Jamais il n'avait vu de femmes si étonnement belle. Il ne pouvait pas détacher son regard d'elle.
MISTRESS — J'ai le désir de faire de toi un dieu.
LUCIUS — Madame, jamais aucun dieu n'aurait la prétention d'être votre égal. Laissez moi, à défaut d'être un dieu, devenir votre obligé. Je n'ai plus de désir de vivre loin de vous...
Elle l'enveloppa dans ses bras, et il se sentit envahie d'une chaleur nouvelle, et doucereuse qui ne le quittera plus jamais dés lors.

« Les silences sont parfois le désespoir des soumis. »


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LUCIUS — Je ne t'effraie pas ?
CHRISTOPHER — Je devrais avoir peur de quoi ?
Lucius soupira et détourna le regard. Ils se trouvaient dans un bateau en directement de l'île d'Heartkiller. Lucius avait finalement convaincu l'humain de le suivre jusqu'à son chez lui. Après tout l'humain n'avait plus rien à attendre sa vie sur le continent. Il ne s'imaginait plus vivre loin de lui, ou sans lui. Il y avait quelque chose de particulier entre eux, un lien que Lucius ne s'expliquait pas. Outre le fait qu'ils faisaient l'amour, ou qu'il admettait le fait d'en être amoureux, il découvrait un sentiment nouveau qu'il ne connaissait pas jusqu'alors. Ce n'était pas une simple attirance, une attraction physique, mêlée à une amitié courtoise. Non, il ferait tout pour voir Christopher sourire, et il avait aussi le désir de le garder pour lui. Il n'avait pas été capable de le tuer, ou de le faire sien entièrement, d'en faire un vampire. Il n'avait pas le droit de l'engendrer, c'était contre les lois de Heartkiller, et il ne pourrait pas échapper à sa maitresse, il le savait. Alors il n'y avait plus eut d'autre solution que celle-ci. Amener Christopher sur Heartkiller. Lucius soupira une fois encore, et se tourna vers son amant qui ne faisait plus attention à lui, regardant l'horizon d'un air perdu.
L'incube sentit une vague de honte l'envahir, et il perdit son sourire. Il allait faire souffrir Christopher, plus encore qu'il n'avait souffert jusqu'alors. Il allait le décevoir, il en était persuadé, et tout à coup ce fut trop pour lui. Il ne se sentait pas la volonté, ou la force de le faire.  Il avait honte de lui, et il sentait déjà que l'humain lui échappait. Il ne pouvait pas l'accepter. Il ne voulait pas être un monstre dans les yeux de Christopher, il voulait être... Un homme, quelqu'un de bien, quelqu'un qui méritait d'être aimé. Il voulait être un être aimable, c'est-à-dire qui aurait le droit de connaitre l'amour. Quelqu'un qui ne l'enfermerait pas dans une cage faite d'os d'humains.
LUCIUS — Pardonne moi... Murmura-t-il. Bien trop bas pour que l'humain ne l'entende sans doute.
Puis ce fut la tempête. Puis ce fut le naufrage. Lucius prit Christopher dans ses bras, et le protégea comme il le faisait depuis que son regard avait croisé celui de l'humain. Ils se retrouvèrent sur la plage, tous les deux, la nuit déjà bien entamée obligeait Lucius à prendre une décision rapidement. Il se tourna vers son humain, et croisa son regard. Si son coeur avait pu battre, alors il se serait arrêté sur le moment. Il ne pouvait pas faire cela. Il ne pouvait pas lui mentir plus longtemps, lui cachait qui il était. Ce qu'il était.
LUCIUS — Vas t'en. Ordonna-t-il pour finir. Tout avait changé. Christopher le détestait cela se lisait dans ses yeux. C'était trop pour Lucius. Il déglutit difficilement, et dans un souffle d'air il s'envola. Pour longtemps... Mais sans doute pas assez.


« Dès qu’on rencontre d’autres créatures, on se retrouve soumis à leur volonté. »


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LUCIUS — Tu es laide.
ABSYNTHE — Tu es méchant.
Il foudroya la succube du regard. Cela faisait quelques mois qu'il se trouvait sur l'île de Heartkiller, quelques mois qu'il était devenu une sorte de monstre buveur de sang, mais inférieur à un vampire. Il n'était qu'un banal incube, et de ce fait il devait apprendre à être son nouveau lui. A être un séducteur, et un tueur. Ce n'était pas dans sa nature de séduire les gens, sauf pour avoir de la coke, ou de l'alcool. Ou pour survivre. Il devait apprendre que cette exercice c'était surtout une question de survie, que s'il ne séduisait pas des humains pour les ramener à sa maitresse, alors il pouvait fort bien en mourir. Il n'était pas stupide, il comprenait rapidement les choses. Alors on l'avait mis en relation avec cette Absynthe, et aujourd'hui elle était sa maitresse dans tous les sens du terme. Ils avaient déjà couché ensemble, une fois, et ce fut une expérience particulièrement éprouvante pour le jeune homme, dans le sens où jamais il n'avait eu une partie de sexe aussi démoniaque. Il était une bête, il l'avait bien senti, et il n'avait plus vraiment de limite, que cela soit physique ou mentale. Le sexe, tout comme le sang était en lui à présent, tel des forces impitoyables qui pouvaient faire de lui le pire des individus. Un monstre, une bête. Il était un immortel, un être qui ne pouvait pas mourir, sauf à le vouloir. Absythe était comme lui, et de plus elle était Italienne.
Son Italie natale lui manquait. Quand il se trouvait avec elle il n'était pas rare qu'ils se mettent à parler en Italien. Il n'était pas rare non plus que lorsqu'elle le critiquait trop il se mettait à l'insulter à son tour. Cela ne dépassait pas le niveau d'un tu es laide ou tu veux pas voir ailleurs si j'y suis ? Mais cela amenait à une joute verbale tout à fait fantastique et enfantine qui amusait beaucoup le nouvel Incube. Mais Absynthe avouait souvent aussi qu'il était doué. Et il n'aurait pas besoin de cours durant longtemps. Elle lui avait appris à traquer, et chasser un humain sans bruit. A attaquer à la gorge, et à jouer de ses nouvelles aptitudes ou séduire un humain. Il avait la possibilité de jouer de ses nouveaux charmes pour rendre un/une humain(e) complètement fou/folle de lui. Il adorait cette idée en réalité. Il vivait une seconde renaissance, et il sentait qu'il allait bien s'amuser finalement.
LUCIUS — Continuons. Dit-il en se relevant, et en se mettant face à elle.
Il la regardait dans les yeux, un sourire pervers sur les lèvres, mais chaleureux. Il ne la quittait pas du regard, et après quelques instant il osa baisser les yeux pour la dévorer du regard, la déshabillant ostensiblement sans la toucher. Il lui suffisait alors de sourire, et de déclarer d'une voix suave Alors, on y va ? Elle se mit à rire, s'approcha de lui, et le suivit dans les ténèbres d'une nuit nouvelle...

« Celui qui fait exécuter les lois doit y être soumis. »

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FATHER — Tu seras un homme de bien mon Fils.
LUCIUS — Si tel est ton désir.
Il ne pouvait rien refuser à son père, c'était un fait indéniable. Son père l'avait poussée à suivre des cours dans une école privée dés son plus jeune âge. De ce fait il avait une maitrise parfaite du latin, et du grec ancien. Il pouvait réciter la Bible, et il parlait un Italien des plus nobles. Il devait être à la hauteur de son nom sans doute, ou de sa famille. Son père voulait le voir devenir quelqu'un, faire des études religieuses, et entrer dans les ordres. Lucius n'était pas sur de le vouloir, il n'était sur de rien, se tenant dans l'antre de cette époque difficile que l'on nomme l'adolescence. En réalité, il était assez perturbé. Il y avait ce garçon dans sa classe, un beau blond avec un air timide qui le regardait parfois d'un air intrigué. Lucius l'avait remarqué, et il avait remarqué aussi qu'il aimait ça. Il aimait être regardé par ce garçon. Les filles le remarquaient facilement aussi, mais il n'avait nul désir pour elles, et souvent il les ignorait. Ses parents n'y avaient pas fait attention, parce que cela coïncidait avec leurs visions de la vie prude et chaste à laquelle ils le menaient peu à peu. Lucius n'était pas soumis aux décisions de ses parents. Il avait envie d'aimer. Il avait envie d'être libre, d'être celui qu'il était vraiment, plutôt qu'une image parfaite. Ce soir-là, alors qu'il avait dix-sept ans, il décida qu'il était assez. Un an plus tard, à sa majorité, il pourra prendre son envol. Il pourra aimer les hommes avec autant de ferveur que ses parents aimaient Dieu. Et il pourra disparaitre, tel un fils indigne. Il pourra être injuste et rebelle.
LUCIUS — Oubliez moi, je ne suis plus votre fils. Je suis un inconnu. Dit-il alors qu'il l'écrivait en même temps en bas d'une lettre qu'il adressa à ses parents. Il la laissa sur la table de la cuisine alors qu'il partait, un sac en toile noir sur le dos, emplis de vêtement, et de quelques billets. Des billets qui lui serviront pour acheter sa première dose. La première dose d'un drogué. Un drogue aux sentiments, à la passion, et au désir de vivre....




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MessageSujet: Re: présentations de hk perso   présentations de hk perso EmptyVen 7 Fév - 20:17

Invité a écrit:

☇ Elikan Cyal Sunshine
“ Relire des messages et se dire qu'à ce moment-là tout était parfait... ”

☇ Vampire Garde
FEAT. Anthony Gastelier
PRENOM(S) & NOM : Elikan Cyal Sunshine
SURNOM : Eli'
DATE & LIEU DE NAISSANCE :5/05/1748 à Édimbourg en Écosse.
AGE : 29 ans en apparence, 264 en réalité.
MÉTIER : Ancien soldat, garde aujourd'hui.
STATUT : Célibataire
ORIENTATION SEXUELLE : Bi à grosse tendance vers les hommes. Aucune femme n'arrive à la cheville de sa soeur, elles sont donc insignifiantes.
CARACTÈRE : Gentil, souriant, charmeur, têtu, à l'écoute, arrogant, manipulateur, loyal, courageux, patient, tendre, sensible, sanguinaire, rancunier, sincère.

☇ LE QUESTIONNAIRE HEARTKILLIEN
▬ comment considérez-vous la famille Bridgestone ? avez-vous une relation spéciale avec eux ?

Je suis un des gardes de leur royaume, de ce fait je leur dois le respect et l'obeissance. Mais en réalité je les déteste, pour le meurtre de mon créateur ils ne méritent que la mort. Cette famille est une abomination de la pire espèce. Ils ne méritent pas de vivre, plus particulièrement l'une des soeurs qui finira poussière.

▬ que pensez-vous de la condition des esclaves/humains sur l'ile ? pour ou contre leur traitement ?

L'être humain devrait pouvoir choisir sa destinée, et n’obéir à personne. Surtout pas à nous vampire. Être de la nuit, monstre sans foi ni loi. Je suis plutôt contre, même si je dois les remercier de me nourrir contre leur gré.

▬ comment trouvez-vous heartkiller ? la ville en elle-même, son organisation, son climat, ses habitants.... ?

La ville est agréable, le climat et les gens me semblent sympathique. Mais je ne compte pas rester et terminer ma vie ici. Ou du moins mon éternité. Malheureusement je doute vivre encore longtemps quand j'aurais mis mon plan à exécution.

▬ avant d'arriver sur HK, quelle était votre opinion sur les rumeurs englobant le triangle des bermudes ?

Je m'en fichais royalement. Je ne croyais pas qu'il puisse exister une force qui entraine les bateaux et les avions.

▬ craignez-vous la furie des derniers levinson ? d'ailleurs, qu'évoque pour vous la chute du roi allan levinson ?

C'est qui ?

▬ et enfin, question piège, que pensez-vous des adminettes ? Qui est la plus folle ? La plus sexy ? La plus chieuse ? dites-nous tout...

La plus folle ? Allons (Rozen) je ne me permettrais pas ! La plus class' ? (Pas Rozen) je ne sais pas ! La plus chieuse ? (ROZEN ROZEN ROZEEEEEN Smile Je ne veux me mettrais personne à dos ! Rozen je te taquine, je t'adore  *x* Dae elle roxe de la fougère :32:et Fifir :love:et Ananas  :papillon: Mais la meilleure reste ma cherie :out:



PRÉNOM/SURNOM : Manon, Ou John, Ou Dieu
AGE : 18 ans
SEXE : F
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Vous le savez comment xD
ET COMMENT TU LE TROUVES? M'ouais bof
EST-CE QUE VOUS SOUHAITEZ ETRE PARRAINE ? Pas besoin merci xD Je pense bien le connaitre
PEUT-ON ON FAIRE UN PREDEFINI DE VOTRE PERSO. SI VOUS ETES SUPPRIME ? OUI il devait être un scénario a la base
CODE RÈGLEMENT : OK par la chieuse, follasse, pas sexy, T'AS COMPRIS DE QUI JE PARLE HEIN :langue::fire2:


Invité a écrit:

☇ VOTRE HISTOIRE
“ Crois pour être fort, aime pour être heureux. ”
Tic... Tac... Boom. Une bombe, l'horreur, le sang, les cries. La mort. Partout, qui rode, son odeur putride flottant dans l'air.

L'enfant se réveille d'un bond, essoufflé, en sueur et encore tremblant. Un rêve, ce n'était qu'une illusion pense-il. Encore une, il se réveille toujours dans le même état, il est perturbé, il a peur. Il ne se rendormira pas. Il le sait c'est toujours pareil de toute façon. Comment le blâmer ? Ce genre de rêve est horrible pour un enfant. Il ne peut pas aller se confier à sa mère ou son père, il doit être un homme, être fort. Un homme n'a peur de rien, il ne crains rien. Pourtant ce n'est pas encore un homme, c'est un enfant. Il a à peine 8 ans. Mais il sait que si il se lève pour demander du réconfort auprès de sa mère, son père l'enverra se recoucher sans plus de ménagement. Il a essayé une fois, il a été puni pour cela. Alors sans un bruit il pose ses pieds par terre et se dirige vers la chambre de sa petite sœur, son soleil. Il fait doucement, pour que le parquet en bois ne fasse aucun bruit sous ses pas. Ça marche, il arrive et se glisse sous les draps. Il n'y a que comme ça qu'il va se rendormir, prés de sa petite sœur. Sa Alice. Son ange blond dort, mais pourtant en sentant le corps de son frère dans son lit une place, elle ouvre un œil et vient se coller à lui, et enfouir son visage dans la chemise de nuit du jeune homme. Il la serre contre lui de ses petits bras. Et d'une petite voix, sa sœur brise le silence. « Encore un cauchemars Eli' ? » Le plus vieux ne répond pas, il se serre plus fort contre sa sœur et celle-ci comprend. Ainsi ils se rendorment. Et lui... Il se souvient.

Il s'appelle Elikan Cyal Sunshine. Il vit en Amérique maintenant, mais il est né à Édimbourg dans la capitale Écossaise. C'est le fils aîné de la famille Sunshine, et dans ses bras il tient sa petite sœur, Innocent Echo-Alice. Sa princesse, sa perle. Son ange ou du moins, la plus pure représentation sur terre de ces êtres célestes. Elle a 5 ans, lui 8. Elle est si fragile, si pure. Son père ? Un révèrent. Sa mère ? Il l'adore même si il ne lui dit pas assez. Elle est douce, calme, une mère au foyer exemplaire. Ils vivent dans une petite maison de Philadelphie, ils sont modestes mais ne manquent de rien. Ils sont protestants, très croyant par la force des choses. Pour tout avouer Elikan ne comprend pas grand chose à la religion, mais il se plie aux règles de son père.

Il vient d'avoir 10 ans, et ses rêves s'amplifient. Il ne dort plus, il a du mal. Il a peur de fermer les yeux, de s'endormir. Il ne se repose qu'avec sa sœur, quand il est prêt d'elle. Mais leur père refuse qu'il dorme avec elle. Ce n'est pas digne d'un homme dit-il. Mais il n'est pas un homme, il ne veut pas grandir il veut rester enfant. Pourtant il se sent devenir grand, trop vite même. Il sent qu'il doit protéger sa petite sœur, cela le rend adulte et plus mature. Sa princesse va bientôt partir pour une école religieuse. Il ne la verra que pendant les vacances. Il sera fort, pour elle. Pour faire sa fierté. Pourtant il a essayé de parler de ces rêves à son père, d'avoir son soutien ou du moins une explication. Qu'on lui dise qu'il ne crains rien, que ses parents sont là et qu'ils le protègent.  « Ce n'est pas normal. Va prier, Le Seigneur n'abandonne pas sa brebis, même la plus égarée. » Mais ce n'est pas Dieu qui va l'aider, il le sait. Mais il ne dit rien, ce serait un blasphème. Alors devant son lit il s'agenouille et prie à voix basse. Il sait que son père écoute à travers la porte, qu'il le guette pour savoir si son fils est un bon croyant. Il l'est ou plutôt il le fait croire, qu'il se rassure.

Le royaume de Dieu est en toi et tout autour de toi. Pas dans les édifices de bois et de pierre. Fend un morceau de bois et je suis là. Soulève un morceau de pierre et tu me trouveras.


Il a 12 ans depuis plusieurs mois, le soleil se couche et baigne l'horizon d'une couleur orangée magnifique. Elikan est debout dans un champ de blés, il regarde son ami courir vers lui, il est beau avec ses yeux verts, son sourire éclatant et ses cheveux blonds tel un ange, il s'élance dans ses bras. Ils sont à peine en vacance et cela fait plusieurs semaines qu'il ne se sont pas vus. Son ami s'appelle Kano, il a son age. Tel les enfants qu'il sont ils partent en courant dans les champs, riant, sautant, s'amusant comme ils ont l’habitude de le faire. Avant que la nuit ne tombe ils ce sont arrêtés sous un arbre, ils sont assis l'un à cotés de l'autre, ils parlent. Et sans prévenir, en une fraction de seconde Kano a ses lèvres sur celles d'Elikan. Un baiser chaste, du bout des lèvres. Un baiser d'enfant. Elikan ouvre les yeux, plonge son regard dans celui de son ami et son âme s'illumine. C'est quel sentiment qui brûle son cœur ? D’où viennent ces papillons qui battent de l’aile dans son ventre ? Et ce sourire heureux il lui est adressé ? Pourtant le rêve se brise, la bulle de bonheur s'éclate alors qu'Elikan sent une main le lever sans douceur, avec force et violemment. Il entend des bribes de paroles, son père. Il lui hurle des mots à l'oreille, mais l'enfant n'entend rien, il veut retourner vers Kano et pourtant il prend la direction inverse. Il ne le sait pas encore, mais ce sera la dernière fois qu'il verra son ami, son premier amour d'enfance.

Les conséquences de ce baiser seront catastrophique pour l'enfant. Son père est entré dans une colère noire, il l'a emmené à l'église, l'a forcé à prier, à se repentir et à demander l'absolution de son âme. Son père l'a traîné dans sa chambre. Il est persuadé que son fils est possédé, et pour avoir confirmation de ses dires il prend une fiole d'eau bénite et le force à boire. L'enfant s’exécute, grimace sous le goût fort du breuvage. Une seconde passe... Elikan tourne la tête vers l'entrée de sa chambre. Sa mère pleure, elle pense comme son père bien-sûr. Sa petite sœur le regarde et il lit dans ses yeux tant d'amour et de souffrance qu'il se sent défaillir. Il sait qu'il ne l'a pas déçu, mais elle ne comprend pas et c'est normal. 2 secondes... Son père le fixe, attendant de voir une quelconque forme de possession traverser les yeux de son fils. Mais rien, pas le moindre rictus ne déforme le visage du petit brun. 3 secondes... La gifle part, si fort que l'enfant sent sa tête lui tourner. Sa joue le brûle, il y porte ses mains froide pour apaiser la sensation de brûlure mais cela ne fonctionne pas. Alors il sent les larmes lui monter aux yeux, l'humiliation et la rage lui serre la gorge. Ce n'est pas le coup en lui même qui le blesse le plus, c'est le motif. Il aime Kano ce n'est pas le plus important? Dieu n'est qu'amour disait son père. Il mentait alors. Il entend sa sœur pleurer et immédiatement il s'en veut, il ose lever le regard vers elle, il lui murmure un pardon avant de fondre en larme. Son père est satisfait, si son enfant pleure c'est que le démon en lui quitte son corps. Qu'il a honte de ce qu'il a fait avec ce petit parjure de Kano. Le petit brun pleure plus fort, il se sent seul, incompris. Il se demande ce qu'il a bien pu faire pour que Dieu le déteste tant. Alors il comprend que Dieu n'existe pas, que c'est une invasion de l'être humain pour se sentir inférieur. Que l'être humain à besoin d’idolâtrer pour avancer, qu'il ne se sent bien que lorsqu'il pense que quelqu'un le regarde. Il le comprend, et il sait déjà qu'il déteste ce seigneur hypocrite et menteur. Il rend les hommes fous, il rend son père dingue. Il fait pleurer sa sœur et pour ça, il blasphémera autant qu'il le pourra.

Son père se retourne et en quelques mouvements il fait disparaître tous les livres posés sur les étagères de son fils. Ils sont remplacés par des ouvrages bibliques, par des statuettes religieuses. Sa petite sœur c'est approchée pour se réfugier dans les bras de son frère. Mais leur père la prend par le bras pour l'emmener loin de cette chambre où traîne le démon parait-il. En un instant le jeune homme se retrouve seul, enfermé dans cette chambre, son ombre se dessinant contre le mur en face. Il regarde son reflet et prend une décision. Il jouera la comédie, plus jamais il n'acceptera pas une autre humiliation comme celle là. Pour ce soir l'enfant restera seul, affamé car son père à sans doute ordonné à sa mère de ne pas lui monter de quoi se restaurer, à la lueur d'une faible lumière il va s'endormir et encore rêver, tremblant car il a froid, des sanglots dans la voix. Le lendemain la porte de sa chambre est ouverte, il se lève et va réveiller sa sœur en l'embrassant sur le front. Le regard de son ange blond semble s'émerveiller en voyant son frère. Il la serre contre lui en lui promettant qu'elle ne reverra plus jamais ça, elle le croit, il en est fier.

Depuis ce jour Elikan change. Cet enfant pourtant turbulent devient un modèle de calme et d'assiduité. Il étudie la bible, lit les différents évangiles que lui donne son père. Il va à l'église, prie comme le veut sa religion, travaille beaucoup à l'école même si c'était un bon élève bien avant. Il devient le fils que son père à toujours voulu. Mais ce n'est qu'une image. Il s'amuse en réalité, il joue. Il est l'acteur de sa vie, et il joue actuellement son plus beau rôle. Il a évité le pire, son père voulait l'envoyer au séminaire, il voulait faire de lui un homme d'église. En devenant un modèle de vertu il évite de rentrer dans la religion. Il ne l'aurait pas supporté. Mais cet après midi encore son père l'a envoyé dans sa chambre pour étudier la bible. Elikan n'est pas fou, il ne va pas le faire. A la place il a glissé une feuille entre les pages de la bible et il dessine. Quoi ? Le visage de Kano qu'il n'arrive pas à oublier. Il part dans ses souvenirs sans prêter attention aux pas qui s'approche de lui, une petite tête blonde se penche sur son dessin alors qu'il sursaute. Il reconnaît sa sœur et un sourire illumine ses lèvres. Son petit ange relève ses yeux bleus vers elle pour lui demander doucement, en faisant attention à ce que leur père n'entende pas. « C'est qui Eli' ? » Il hésite... Il lui fait confiance oui mais il ne sait pas comment elle va réagir. « C'est Kano tu sais mon ami. » Elle hoche la tête silencieusement. « Pourquoi père à piqué une colère ? J'ai entendu son prénom ça avait un rapport avec ton ami ? » Toujours aussi curieuse... Il l'adore ainsi. Elle ne peut pas s’empêcher d'espionner. Il sent qu'il peut se confier à elle, il ne peut plus jouer un rôle devant sa sœur. Il ne s'en sent pas le courage. « Kano m'a embrassé Ali' et père l'a vu. Il a piqué une colère. » Sa sœur ne dit rien, que répondre ? Elle ne le juge pas et cela le rassure. Elle le regarde, lui dépose un baiser sur le front. « Je t'aime Eli' » « Moi aussi Ali' » Ali et Eli, seulement une lettre pour différencier deux enfants qui se ressemblent pourtant tellement.  



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MessageSujet: Re: présentations de hk perso   présentations de hk perso EmptyVen 7 Fév - 20:18

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Hello guys! Moi c'est Jeanette, je suis du genre transexuelle :32:et j'ai 1120810281 ans!J'ai connu Heartkiller grâce à un fantôme dans un château en Ecosse What a Face:hii:, et je le trouve parfait, comme moi 👀.
Vous voulez savoir si vous pouvez faire de mon personnage un prédéfini si jamais je suis supprimé(e)? Et bien la réponse est: OUI mais je ne laisserai pas :32:
Sinon, j'ai bien lu le règlement, et le code à retrouver est: OK par Parapluie What a Face


Snow Eleazar Bridgestone

« I am the shadow on the moon at night
Filling your dreams to the brim with fright  »


TOO CLOSE ❖ Alex Clare

Je m'appelle Eleazar Bridgestone mais mes amis me surnomment Le Leviathan, ou Elea. Je suis né(e) à Stockholm le 23/12/657 et de ce fait j'ai donc 1 355 ans réellement, mais 29 ans physiquement..
J’exerce le métier de gérant des relations intercontinentales, médiateur des arrivées des humains sur Heartkiller et superviseur de l'éducation de nos jeunes Sucbes et Incubes. et côté cœur je suis de marbre et très joueur. Côté orientation sexuelle, je suis sans aucun juste milieu ou résistance.
On dit de moi que je suis plutôt charismatique, cruel, égoïste, joueur, insensible, exigeant, intransigeant, lunatique, manipulateur, hypocrite, susceptible, mystérieux, renfermé, associable. J'appartiens au groupe des vampire et il paraît que je ressemble à Aleksander Skargard.

▬ comment considérez-vous la famille Bridgestone ? avez-vous une relation spéciale avec eux ?

* s'assoit sur un fauteuil en cuir en sirotant un verre de sang et regarde l'homme devant lui comme s'il était stupide, ou fou ... ou les deux. * est-ce que vous savez à qui vous vous adressez mon cher ? Il serait mentir que de dire que je ne connais pas les Bridgestone, mais cela pourrait être amusant. Non, je ne connais pas intimement les Brigestone, mais j'en ai beaucoup entendu parlé, et comment cela pourrait - il en être autrement. Ce sont des vampires étonnants, qui ont su prendre le pouvoir face à une royauté installée depuis longtemps. J'ai entendu dire qu'ils avaient tous leur caractères spécifiques, et une mère différente. Cela doit venir de là. Leur père ne leur aurait donné que l'immortalité finalement. Il est étonnant de voir de véritable vampire au pouvoir non ? Je trouve cela impressionnant personnellement. * termine son verre de sang et joue avec le parapluie en papier qui se trouvait dans le verre. * Bien arrêtons là les plaisanteries. Je suis le second frère Bridgestone, le cadet de César. Est-ce que j'ai une relation spéciale avec eux ? Oui. Vous savez, quand vous grandissez dans une famille aussi nombreuse il est dure d'aimer ses frères et soeurs de la même manière. Au début c'était peut être le cas, mais aujourd'hui les choses ont bien changé. Entre ceux que je ne supporte, ceux qui m'indiffère et ceux que j'aime plus que tout je pense que je trouve mon compte au finale. Mais ce sont des histoires de famille qui ne vous regarde pas le moins du monde.

▬ que pensez-vous de la condition des esclaves/humains sur l'ile ? pour ou contre leur traitement ?

* laisse échapper un rire franc. * Je n'arrive pas à croire que vous me posiez une question pareille ! Où se cache la caméra dites le moi. C'est moi qui gère les arrivées des humains et des esclaves sur l'île, c'est bien parce que je n'ai rien contre cette pratique. En outre, c'était inévitable. Nous n'allions pas vivre à égalité avec les humains. Ils sont biologiquement inférieurs à nous, nous ne pouvons rien faire contre cette évidence. Alors autant les utiliser. Nous n'allions pas réduire notre propre race en esclavage, cela n'aurait eu aucun sens. Ils ont au moins une utilité comme. * claque des doigts, alors une esclave habillée en soubrette arrive et lui sert du sang * Et avouons qu'il n'y a rien de plus agréable que de se faire servir par ces adorables créatures. Après à savoir s'il faut les frapper, voir les tuer, je ne rentrerai pas dans ces considérations. Je régule les entrées pour qu'il n'y ait pas d'exagération, mais je ne suis pas responsable de ce que chacun fait avec ses esclaves. C'est une autre question qui en outre ne m'intéresse absolument pas.

▬ comment trouvez-vous heartkiller ? la ville en elle-même, son organisation, son climat, ses habitants.... ?

* soupire et regarde l'air * Je trouve que vos questions sont SANS AUCUN INTERET ! Est-ce que je vivrais ici depuis presque des siècles si je n'aimais pas le climat ? J'ai parcouru le monde, et encore aujourd'hui je suis amené à voyager bien souvent, mais je reste attaché à notre île. C'est NOTRE île, et si nous avions voulu régner ailleurs alors nous l'aurions pu. Il est stupide de nous demander de remettre notre manière de gouverner en question. C'est ainsi que nous avons pensé l'organisation de Heartkiller, qui est la meilleure possible. Aurions-vous la prétention de proposer mieux à vos souverains ? * se lève et s'approche du jeune homme en souriant * Peut être que vous vous voudriez découvrir plus avant notre ville ? Les cachots, les salles de tortures ? Les chambres.... HAHA ~ vous n'êtes qu'un petit joueur en réalité. Heartkiller est le meilleur endroit au monde.

▬ avant d'arriver sur HK, quelle était votre opinion sur les rumeurs englobant le triangle des bermudes ?

Avant cela ? Je trouvais que c'était une belle idée de l'ancien Roi pour attirer les humains et préserver notre anonymat. J'ai toujours été étonné de voir le nombres d'humains que nous recevions par jour. Je pense que les gens ne s'en rendent pas compte. Etant dans l'obligation de vérifier les entrées sur l'île, je peux vous assurez qu'une vingtaine d'humains meurt par jour, parce que nous ne pouvons pas simplement les accepter. Nous choisissons très précautionneusement nos futurs esclaves, et nos habitants. Alors faire courir les rumeurs autour du Triangle des Bermudes, je pensais que cela allait nous permettre d'éviter cet inconvénient. Mais les humains doivent être masochiste sur les bords. Ils aiment le mystère, mais ils perdent souvent la vie. Malheureusement pour eux.

▬ craignez-vous la furie des derniers levinson ? d'ailleurs, qu'évoque pour vous la chute du roi allan levinson ?

* perd son sourire et regarde le vide d'un air mélancolique.* Je ne crains pas la fureur des derniers Levinson. Cela fait des siècles que nous les attendons, mais toujours rien. Je pense même que nous n'avons à craindre personne. Nous sommes de Dieux. * sa voix était dure, tentant de cacher son trouble. * Quant à ce que m'évoque la chute du roi Levinson... Je pense que je devrais dire Notre gloire. Après tout nous sommes devenus la famille la plus puissante qu'il existe sur cette terre, alors oui, cette chute m'évoque notre gloire. Quant au reste ... cela fait parti du passé.

▬ et enfin, question piège, que pensez-vous des adminettes ? Qui est la plus folle ? La plus sexy ? La plus chieuse ? dites-nous tout...

Rozen a beau faire tout ce qu'elle veut, elle est seksy, démoniaque, et mignonnne :32:Et c'trop ma binome de fou que j'aime.... Seule Dae a le droit à avoir son autel dans mon placard :hii::out:

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votre histoire

«  I didn't wanna hurt you, but you're pretty when you cry. »

A MON FRERE
CESAR BRIDGESTONE

roi de Heartkiller, et empereur de ma douleur.

Il se trouvait dans un immense salon, au coin du feu, dessinant sur une feuille de papier blanche à l'air d'un fusain que son père lui avait ramené. Il ne se trouvait pas à la maison. En outre, il était rarement à la maison. Eleazar ne savait pas ce que son père faisait dehors, et il s'en fichait, il se trouvait en compagnie de ses esclaves, et passait le plus clair de son temps à dessiner et lire. C'est ainsi qu'il se souvenait de son enfance. Quelque chose de paisible et de simple. Ce souvenir, il le gardait en lui, dans une boite à présente verrouillée, jetée au plus profond de sa mémoire afin de ne plus jamais l'atteindre. Mais il existait bel et bien. Un bruit le fit faire volte face et il se retrouva en présence de son grand frère et de son père. Il faisait nuit dehors, et la neige tombée. Cesar avait du sang sur les mains et autour de la bouche. Eleazar trouva qu'il avait quelque chose d'inquiétant dans le regard, comme un monstre prêt à bondir à tout moment. Cela inquiéta le jeune enfant qui à peine âgé de six ans ne semblait pas connaitre grand chose à la vie au dehors. Leur père partie en exigeant de César qu'il s'asseye et ne face aucun mal à Eleazar. Celui-ci n'osait bouger de peur de blesser son frère, ou de le pousser dans ses derniers retranchements. — Ne soit pas inquiet, petit frère. Il réagit à la voix de César et leva les yeux vers lui. Il tendit une main maladroite vers ses lèvres et voulut en saisir les gouttes de sang qui s'en échappaient. César ne bougeait pas, mais le laissait faire avec un demi sourire. Le jeune vampire prit le sang et le mena à sa bouche. Il était encore chaud. César sembla retrouver son calme et fixer son petit frère d'une manière fraternel, et protectrice. Un regard qu'Eleazar ne retrouvait plus à présent. — Qu'est-ce qui t'es arrivé, Grand Frère ? — Rien. Il mentait. — Tu mens. L'enfant n'était pas dupe, mais il ignorait ce qu'il s'était passé au dehors. Une chasse trop violente, un meurtre sanguinaire, une lois bafouée. Quelque chose qui avait réveillé un animal chez son frère. Celui-ci ne répondit jamais sincèrement à la question d'Eleazar, ou peut être que si ... — Biens ur que je mens. Pour te protéger. C'est ce que font les membres d'une famille. Ils se protègent Il joua avec les cheveux de son frère et sourit. Un sourire qui resta graver dans l'esprit d'Eleazar comme ses morts. C'est ce que font les membres d'une famille. Ils se protègent. Il se souvint qu'il avait rit, et qu'il avait ensuite montré son dessin à son grand frère. Ils ne parlèrent plus de ce qu'il c'était passé ce soir-là; puis ils oublièrent et la vie continua. Il arrivait cependant qu'Eleazar se demande quand est-ce que César avait changé. Ou alors, qu'il prenne conscience de sa naïveté de l'époque. L'innocence l'avait rendu aveugle à l'hypocrisie dont avait fait preuve son frère. Menteur.

A MA JUMELLE
SATYNE BRIDGESTONE

Impératrice de Heartkiller, et gardienne de ma confiance.

Cela faisait presque dix ans qu'il n'avait pas remis les pieds sur cette île. Il n'avait aucune envie d'y retourner en réalité, mais sa soeur le lui avait demandé. Et qu'importe ses désirs, il ne pouvait rien refuser à Satyne. Il souriait à l'idée de la revoir. Elle était sans doute la personne qu'il aimait le plus - à présent - en ce monde. En tout cas, celle qui le comprenait le mieux. Leur entente était si étonnante que beaucoup de vampire à travers le monde les nommés Les Jumeaux Bridgestone. Ils n'avaient de jumeaux que le surnom en réalité étant nés à quelques années de différence, mais ils le ressentaient ainsi. Ils étaient sur la même longueur d'onde. Alors, dans sa désertion, Eleazar n'avait gardé contact qu'avec Satyne. Elle était venue le voir assez souvent en Russie et elle avait été la seule des Bridgestone a avoir eu le privilège de sa présence durant tout ce temps. Il avait passé dix ans dans les immensités désertiques de la Russie. Pourquoi si loin ? Parce qu'il n'avait aucun souvenir dans ce lieu reculé. Rare endroit où le Roi Levinson ne l'avait jamais envoyé en mission, quant bien même il était son plus fidèle conseillé. Il soupira, et entra dans le château par l'immense porte qui en permettait l'accès. Il ne savait pas à quoi s'attendre. Sans doute pas à trouver Satyne derrière la porte, un immense sourire sur les lèvres. En compagnie de Lorcan. Eleazar fut plus que surprit de voir son petit frère. Ils n'étaient alors pas aussi proches qu'aujourd'hui. — Nous t'attendions, mon chère frère... La voix de Satyne était douce, caressante, et Eleazar posa ses sacs pour lui ouvrir ses bras où elle vint se réfugier. Il embrassa le haut de sa tête et s'enivra de son parfum si spéciale. — Oui... ca fait du bien de revenir chez soi... Malgré tout. Soupira-t-il alors qu'elle se détachait de leur étreinte. Elle avait une étincelle étonnante dans le regard qu'il ne lui connaissait pas. Il était ravi d'être revenue, mais il ne pouvait pas empêcher les vagues de souvenirs remonter à la surface dans ce lieu. Ici, il l'avait faite danser... Ici ils s'étaient embrassés pour la première fois... Dix ans et la douleur était toujours aussi présente. — La roue va bientôt tourner, Eleazar. Lorcan et moi avons quelque chose à te montrer.... Il les suivit jusqu'à un lieu particulier à la nuit tombée, et ils lui dévoilèrent tout. A partir de ce jour-là il fut baptisé de nouveau sous le Nom du Leviathan. Il était surpris d'apprendre que sa soeur et son jeune frère avaient mis en place un tel stratagème. A l'époque il s'en était réjouit. Aujourd'hui, il se demandait quand est-ce que cette arme énorme allait finalement leur exploser à la figure. Il avait peur. Pour la première fois de sa vie, l'avenir lui semblait incertain.

A MA SOEUR
ESFIR BRIDGESTONE

Dauphine de Heartkiller, et souveraine de ma gaité.

Cela faisait quelques années seulement qu'il travaillait à Heartkiller pour le compte du roi Levinson, et il était partie pour la première fois à la rencontre de la princesse Italienne et était parti pendant trois moi dans la cours du roi Italien pour le compte de son roi. Il en revenait ce soir-là, épuisé, sur les nerfs, mais heureux de rentrer chez lui. Il ne trouva personne pour l'accueilir quand il entra dans le palais, et rejoint sa chambre avec un doux sourire sur les lèvres. Il en ouvrit la porte et ne fut que trop surpris de voir la demoiselle qui s'y trouvait. Elle devait alors avec seize ans. Elle était la petite dernière de la famille. Esfir Bridgestone. Elle la regarda, lui sourit, et l'observa minutieusement. Elle perdit alors son sourire et sembla plus perplexe. Elle le foudroya d'un regard accusateur. — Puis-je faire quelque chose pour toi Esfir ? Elle s'approcha de lui et fit le tour de son corps avec un regard inquisiteur. Elle se pencha vers son sac qu'elle ouvrit, et ne trouvant pas ce qu'elle cherchait elle repartie devant lui et le regarda à la manière d'une mère tyrannique. Il retint son rire, attendri pas sa manière de faire. — Mon cher frère... tu sais que je t'adore. Eleazar haussa un sourcil. — J'en ai entendu parlé en effet... Tu veux une déclaration Petite Soeur ? Demanda-t-il sans comprendre ce qu'il se passait. Elle tapa du pied, apparemment à bout de nerf. Il sursauta face à sa fureur. — NON ! je veux une preuve de ton amour pour ta mignonne et adorable petite soeur. Où est mon cadeau Eleazar ? ... Pas de réaction, le jeune vampire regardait l'enfant sans vraiment savoir comment réagir. Il se mordit la lèvre, fautif. Elle releva le visage et tourna le dos pour sortir de la pièce, d'une manière magnifiquement théâtale. — Pas de cadeau, pas de câlin, voila mon prix. Elle sortie, et durant trois jours ne lui adressa pas la parole. Jusqu'à ce qu'il lui ramène une adorable petite esclave qui s'appelait Juliette. A partir de ce jour, et jusqu'aujourd'hui, à chacun de ses voyages il pensait à Esfir et ne prit plus jamais le risque d'oublier son cadeau de peur de ne plus être victime de ses adorables câlins.

A MA SOEUR
MAELYSS BRIDGESTONE

Princesse de Heartkiller, et impératrice de ma haine.

Le temps était venu à présent de se battre. Il était contre l'idée, mais face à ses frères et soeurs  il n'avait pas fait le poids. Seul contre six que pouvait-il faire pour essayer de sauver cette royauté à laquelle il était si attaché. Il avait cependant tenter de la sauver elle et il lui avait fait promettre de rester cacher jusqu'à son retour. Dans un dernier baiser ce serment avait été fait, et il était parti rejoindre ses frères et soeur sur le front. Il n'aurait peut être pas dû, mais César aurait pris son absence comme un affront, et il ne désirait pas abandonner son frère. Il devait les protéger. C'est ce que font les membres d'une famille, ils se protègent les uns les autres. Il avait alors retrouvé César, face au Roi Levinson, et Maélyss près de lui. La sentence était portée : la mort, et César était sur le point de porter le coup fatale. Dans son souvenir, personne ne l'avait vue arrivée. Eleazar se trouvait loin de son frère, trop loin pour intervenir. Parfois il lui arrivait de s'en vouloir pour cela. Il regarda la scène au ralenti. César levant l'épée pour transpercer le coeur de l'ancien roi, désireux de prendre sa place. Et soudainement, cette ombre lumineuse qui arrive de nulle part pour s'interposer. Il ne fallut qu'un instant à Eleazar pour la reconnaitre. Il perdit son sourire, et s'élança vers eux, mais le coup était déjà partie. — NOOOOON !! Il regarda son frère transpercer le coeur de sa bien aimée et Maelyss restée près de lui sans bouger, sans esquisser un mouvement. De marbre. Pourquoi ne bougeait-elle pas ? Pourquoi ne la sauvait-elle pas ? Les larmes de sang jaillir sur les joues d'Eleazar alors qu'il s'effondra devait son frère, sur le corps de sa bien-aimée qui disparu entre ses doigts, dispersé par le vent. Elle sembla le regarder une dernière fois. Un dernier regard avant de retourner à la poussière. Pendant une seconde le silence fut si assourdissant qu'il rendit Eleazar complètement de fou, et dans un hurlement de rage il sortie son épée pour la brandir contre son frère, contre César, contre son meurtrier. Mais c'est la main de Maelyss qui arrêta son mouvement. Elle s'interposa entre les deux frères. Elle empêcha Eleazar de tuer César. Pourquoi ? ... Pourquoi ? — LAISSE MOI LE FAIRE MAE ! LAISSE MOI LE RÉDUIRE AU SILENCE ! Il se débattait mais elle le tenait. Alors elle chuchota ses mots qui le tuèrent une seconde fois. — Je ne peux pas Eleazar. C'est notre frère. C'est la famille. Les membres d'une famille... — se protègent. Finirent-ils tous les trois. Eleazar lâcha son épée aux pieds de son frère, et le regarda dans les yeux en se reculant. — Menteur. Avant de disparaitre dans la brume durant dix ans...

A MA MAITRESSE
feu ELYSIUM LEVINSON

Princesse de Heartkiller, et gardienne de mon amour.
Skinny Love. Birdy.

C'était une époque de beauté et de prospérité. Cela faisait deux siècles qu'Eleazar travaillait pour le compte du Roi Levinson. Il adorait cela. Il vivait à Heartkiller à présent, avec le reste de sa famille. Il était heureux. Et plus heureux encore pour une raison qui n'appartenait qu'à lui. Il se trouvait dans les jardins qui sillonnaient la ville de Heartkiller. La lune était haute dans le ciel et illuminait les lieux d'une lueur mélancolique et douce. Il souriait, et se retrouva sous un vieil arbre qui perdait ses fleurs sous le vent. Soudainement sa vue fut cachée par deux mains douces et enfantines. Il ria. — Qui est-ce ? demanda-t-elle d'une voix mélodieuse. Il posa ses mains sur celle de la jeune vampire et les étreignit. — La plus belle des princesse ? Dit-il en se tournant vers la belle Elysium Levinson. Comme chaque fois qu'il la voyait, il sourit. Une sourit attendri, amoureux. Il était amoureux, c'était un fait qu'ils ne pouvait ignorer tous les deux. Il était plus que ravi de constater qu'elle semblait partager ses sentiments, en prouve le baiser chaste qu'elle lui offrit. — Comment allez-vous Elysium ? Elle s'assit au pied de l'arbre, sa belle robe en auréole autour d'elle et il en fit de même près d'elle. Il ne pouvait pas détourner le regard. Il l'adorait. Elle illuminait ses nuits. — J'ai fais un rêve cette nuit. Il sourit. — Et de quoi avez-vous rêvé ? Elle se tourna vers lui et caressa sa joue avec tendresse. — Que je vous rendais heureux pour l'éternité. Vous demandiez ma main à mon père et il vous l'accordait avec sa bénédiction.... Il l'observa, cherchant dans son regard joueur un étincelle de mensonge. Mais elle était sincère, et dans son regard il pouvait retrouver les réminiscences de son rêve. Il se pencha vers elle et emprisonna ses lèvres dans un long et tendre baiser. Comme un serment une promesse. Mais il ne pouvait pas l'épouser. Il n'était pas l'ainé de la famille, et ce serait horrible pour sa famille s'il se mariait avant César. — Malheureusement ce n'est qu'un rêve... Elysium. Ma douce Elysium. Il détourna le regard et joua avec une fleur tombée de l'arbre. Elle posa sa main sur la sienne pour capter son regard une fois encore. Elle semblait confiante, heureuse. — Mon tendre Eleazar, ne savez-vous pas que le rêve est le royaume des Immortels ? Il voulait y croire. Il avait voulu y croire. Mais depuis le rêve s'était envolée. A la manière des pétales de fleur sous cette arbre d'automne, sous la lune mélancolique.  


A MON AMIE
JEZABEL HARRINGTON

Futur Reine de Heartkiller, et impératrice de ma passion.

Il se trouvait à la cours d'Angleterre. Il aimait la cours d'Angleterre. Il y a avait quelque chose ici qui l'apaisait. Cela lui rappelait une période riche en rire et en joie. Les Harrington faisaient presque partie de sa propre famille, en tout cas ils se considéraient comme tel. Cela faisait bientôt vingt ans qu'Eleazar n'avait pas eu affaire à eux. Depuis que le roi Levinson était tombé. Il avait eu du mal à retrouver la force de reprendre ses activités. Beaucoup lui avait demandé des explications sur son départ et son silence. Mais il ne répondait pas à ses questions. Il ne voulait pas y répondre. Cela faisait partie des choses qui devaient rester cacher. Seule Satyne était au fait des raisons qui avaient poussé Eléazar à s'éloigner de sa famille. Il se trouvait en Angleterre - en partie - pour reprendre sa place sur la scène internationale. Cela faisait dix ans qu'il reprenait petit à petit du service, et il devait venir certifier les liens toujours existant et fort entre les deux familles. Il se trouvait dans l'entrée, attendant que le roi daigne lui accepter une audience. C'est alors qu'une ombre s'élança dans le couloir près de lui. Sur sa droite. Une belle chevelure brune étincellante, et une robe blanche somptueuse. Un fantôme. Une illusion. Non plus que cela encore... — Un rêve... Il réalisa alors qu' elle se trouvait là ! Il ne prit le temps de réfléchir et s'élança à sa suite. Il arriva à la rattraper l’encerclant dans une étreinte désespérée. Elle arrêta tout mouvement. — Elysium...? Elle fit volte face et il perdit son sourire. S'il avait pu rougir son visage aurait pris la couleur du sang. Il ne la reconnut pas tout de suite. Il semblait que sa beauté était plus lumineuse qu'auparavant. Il était confus et tentait d'échapper à son regard. — Jézabel ! Excusez moi Princesse. Je suis confus je... je vous ai pris pour ... la femme que j'aimais... La princesse Levinson. Il regarda ses pieds, confus. Il ne savait pas trop comment il devait se comporter. Il avait toujours apprécié Jézabel, cependant c'était la première fois qu'il prenait conscience de sa pureté. De sa beauté pourtant radieuse. Il était ému. — Ce n'est rien Eleazar. sa voix était d'une douceur étonnante. Elle le prit dans ses bras et lui glissa quelques mots à l'oreille. — Je suis heureuse de te revoir. Il fut surpris de cette déclaration. Mais il se détendit et se laissa aller à cette étreinte. Après tout il s'agissait de Jézabel, de son amie. Il la connaissait depuis toujours. Il la connaissait bien avant de connaitre Elysium. Elysium... qui disparaissait dans la brume alors que son visage prenait les traits de la belle princesse anglaise... il eut le désire de pleurer.

La vite est faite de rencontres. Eleazar avait décidé de ne pas vivre seul. Il n'aimait pas être seul. Parce qu'en réalité, il avait peur du noir....


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MessageSujet: Re: présentations de hk perso   présentations de hk perso EmptyVen 7 Fév - 20:19

Invité a écrit:

☇ Cesare Rodrigo Borgia
“ Le fleuve coulait, sombre entre ses berges, sous un ciel de violette et d’argent où montait la pleine lune. ”

☇ Vampires royaux
FEAT. Max Irons
PRENOM(S) & NOM : Cesare Rodrigo Borgia
SURNOM : L'antéchrist généralement, Ces' par sa petite sœur.
DATE & LIEU DE NAISSANCE : 13 septembre en l'an de grâce 871 à Madrid
AGE : 25 ans physiquement, 1142 en réalité.
MÉTIER : Nouveau roi d’Espagne, en visite diplomatique sur Heartkiller.
STATUT : Fiancé mais volage.
ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel
CARACTÈRE : Drôle, têtu, rancunier, sadique, pervers, sanguinaire, manipulateur, charmeur, galant, avenant, fou à lier, loyal, dangereux, violent, colérique, à un goût prononcé pour le meurtre, narcissique, lunatique, cruel, rusée, délicat, sensuel, insoumis, sans scrupule, psychopathe.

☇ LE QUESTIONNAIRE HEARTKILLIEN
▬ comment considérez-vous la famille Bridgestone ? avez-vous une relation spéciale avec eux ?

D'après mes nouvelles fonctions ils sont des alliés, pourtant je ne ressent aucun sympathie pour cette famille. Incapable de commander seul, il n'y en à pas un pour rattraper l'autre et enfin prendre le pouvoir avec un bon complot. C'est pathétique et en même temps amusant. Je les compare à des fourmis grouillant dans un nid de boue... Avant que ma botte ne vienne les écraser. Eleazar remonte un peu le niveau, un peu j'ai dit...

▬ que pensez-vous de la condition des esclaves/humains sur l'ile ? pour ou contre leur traitement ?

Ils sont mes jouets, une distraction comme un autre et une façon tout à fait excellente de se nourrir. Quoi de mieux que puiser le sang à sa source, dans une gorge toute fraiche. Vieille de... 10/12 ans si possible.

▬ comment trouvez-vous heartkiller ? la ville en elle-même, son organisation, son climat, ses habitants.... ?

C'est plaisant, voici pourquoi j'ai accepté de me déplacer alors que mes obligations devraient me retenir en Espagne.

▬ avant d'arriver sur HK, quelle était votre opinion sur les rumeurs englobant le triangle des bermudes ?

Comme tous les vampires je savais que Heartkiller était une île et la capitale de la famille royale. Sans plus.

▬ craignez-vous la furie des derniers levinson ? d'ailleurs, qu'évoque pour vous la chute du roi allan levinson ?

Ma famille était des proches de cet ancien roi. Enfin en apparence, les Borgia étant de fins stratèges toutes les familles royales sont nos amis. Avant qu'on réussisse à les renverser.

▬ et enfin, question piège, que pensez-vous des adminettes ? Qui est la plus folle ? La plus sexy ? La plus chieuse ? dites-nous tout...

Ma femme c'est la plus belle, les autres j'les Love et les modos je les aime (Dont moi même)



PRÉNOM/SURNOM : John... Manon... Elikan... :32:
AGE : 19... 1 an de plus !
SEXE : F
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : A la TV, on à une renommée mondiale !
ET COMMENT TU LE TROUVES? A ton avis ?
EST-CE QUE VOUS SOUHAITEZ ETRE PARRAINE ? Je pense pas à avoir besoin...
PEUT-ON ON FAIRE UN PREDEFINI DE VOTRE PERSO. SI VOUS ETES SUPPRIME ? OUI il est un scénario à la base
CODE RÈGLEMENT : Ok par John !


Invité a écrit:

☇ VOTRE HISTOIRE
“UNE PETITE CITATION COURTE ICI POUR FAIRE ZOLI ”


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« Tu vois mon fils c'est ton nom qu'ils scandent. Un jour ton visage sera gravé dans les mémoires, et le nom de Borgia sera sur toutes les lèvres. »

L'enfant, encore un bébé leva ses yeux rouges vers son père. Comme si il venait de comprendre ses mots il lui fit un sourire. Le grand homme devant lui le prit dans ses bras et le montra à l'assemblée. Des hommes s'agenouillèrent en signe de respect devant le bambin gigotant dans les bras de son père. Le saluant, respectant déjà cet enfant.

Nous sommes en 871 et les Borgia sont une petite famille, puissante certes mais encore peu connue. Assez pour que la naissance de ce 3eme enfant fasse du bruit. Frère de Pedros Luis et Giovanni Juan, Cesare brille déjà par son regard vif et intelligent. Il sera un grand homme, son père le sent. Malheureusement son destin se dirige vers la religion, il devra être un homme d'église c'est ainsi que l'a décidé son père. Et chez les Borgia on ne discute pas les ordres du patriarche, on acquiesce et on agit c'est ainsi. Ses deux frères seront des militaires, mais pas les meilleurs que l'armée puisse porter au grand désespoir de Cesare.

« Fils arrête ça et viens étudier. » L'enfant fait la sourde oreille et continu ses activités. A savoir s’entraîner à l'épée avec un de ses serviteurs. Il ne prête pas attention à son paternel qui s'impatiente ni à ses frères qui le regardent faire. Il ne voit que sa petite épée en bois claquer contre celle de l'esclave face à lui. Un humain qui est à son service depuis sa naissance, Cesare n'a aucune affection pour lui mais au moins il reste en vie, c'est une preuve de courage. Alors Rodrigo s'avance vers son fils et l'attrape par l'oreille en lui hurlant d'arrêter ses enfantillage, il le traine dans une pièce fermer pour étudier les saintes écritures. Encore. Le dernier des Borgia n'a que 6 ans et déjà il n'est pas un enfant comme les autres. Il se montre plus doué pour la guerre que pour réciter la bible, son regard se porte sur les champs de bataille au lieu de prier le seigneur. Et ça son père l'accepte difficilement.

Il ferme les yeux pour se concentrer mais c'est impossible pour lui, il n'y arrive pas et les coups de règle en argent sur son dos ne l'aide pas. Il grogne de douleur alors qu'il reçoit un coup encore, son père tape dur. « Rodrigo par pitié arrête et laisse le ! Ce n'est qu'un enfant ! » Sa mère essaye de prendre sa défense, pauvre d'elle. Pauvre petite humaine qui n'a qu'un semblant de vie aux yeux de l'homme qui l'a mise enceinte encore une fois. « Il sera pape un jour ! Et au lieu de se concentrer sur ses études il passe son temps à rêvasser. Tu me déçois tellement. » L'enfant baisse les yeux, pris en faute. Il n'arrive pas à affronter le regard de son père. Cet homme si froid et sur de lui, avec tant de charisme que peu osent vraiment affronter ses yeux perçants.

Sa mère, douce femme humaine que le temps n’abîme pas. Ses longs cheveux blonds se penchent sur Cesare avant qu'elle ne dépose un baiser sur son front. Elle vit parmi les vampires sans jamais en devenir une. Elle ne savait rien de la nature vampirique de son amant avant de mettre au monde un de ses enfants. Elle n'a pas peur de la mort, ne crains pas les crocs des vampires. Mais elle tient à sa vie humaine et pour cela elle mourra un jour. Pour l'instant elle essaye de remplir son rôle de mère auprès de tous les enfants, du mieux qu'elle peut du moins. Lentement elle caresse son ventre déjà rebondie, elle attend un heureux événement. Un autre petit, un autre Borgia. Une fille pour tout avouer, une petite sœur pour Cesare.


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C'est un jeune homme, presque encore un enfant qui foule les pieds du séminaire. Il entre dans la salle de classe et s’assoit sans un bruit, calmement. Le cour commence et il sent déjà l'ennui l'étreindre, il pique du nez. Dieu, le paradis, les anges, le diable. Il ne prête pas attention aux mots du prêtre face à lui, après tout il est une créature du diable, il est le mal en personne. Il se nourrit du sang des hommes, il ne compte plus ses victimes. Que fait-il là, ce n'est pas sa place. Tout cela ne l'intéresse pas. L'homme d'église croise ses yeux et frissonne, c'est surprenant un enfant aux yeux rouges vifs qui vous regarde avec un sourire presque sadique. Cesare s'imagine déjà lui sauter à la gorge, déchirer sa peau, voir sa robe de prêtre s'imbiber d'hémoglobine. Ce serait si bon, si doux qu'il doit se retenir d'agir.

« Notre mère est morte... » Il voit sa sœur courir vers lui, sauter dans ses bras pour laisser couler ses larmes. Sa petite sœur Lucrezia, sans doute la seule personne au monde pour qui il a de l'affection. Il la serre fort, essuie ses larmes, la rassure et la câline. Sa mère... Elle n'est plus et pourtant il ne ressent rien, aucune peine, aucune tristesse. Il n'a jamais été très présente pour lui. Il se souvient de son enfance avec elle mais avec le temps elle c'est éloignée, elle est devenue une étrangère à ses yeux. Si bien qu'il ne pleure pas sa mort. Il ne pleure jamais.

Il voit sa vie défiler, le temps passer et l'histoire changer. Il est un spectateur d'une époque ou il se sent pas à sa place. Il sent l'injustice dans son cœur. Cesare suit sa famille à Rome alors que son père aspire à une destinée plus glorieuse encore. Ses deux frères sont dans l'armée, Pedro Luis brille par ses aptitudes. Juan en revanche n'est qu'un bon à rien et pourtant c'est le favori de leur père. Cesare ne comprend pas cette injustice, il fait tout pour briller dans les yeux de son père, il exécute le moindre de ses ordres, il suit ses cours religieux, se fait féliciter par les plus grands de Rome. Et pourtant ça ne suffit pas, rien ne comble le 3eme enfants des Borgia.

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Pourtant un jour il va se prendre d'affection pour une jeune fille, jolie, adorable, intelligente. Elle le fait sourire, lui donne l'impression d'être vivant. Il a envie de la voir, un peu trop. Si bien que cela débouche sur une histoire pleine d'amour et de tendresse. Il n'est pas encore l'antéchrist, le Cesare Borgia sanguinaire comme sa réputation va le laisser penser. Il est encore pur, presque du moins. De cet amour éphémère avec cette jeune fille va naître un fils, un Cesare Junior. Si beau que son père va tomber à genoux en le voyant. Jamais il n'aurait pu croire qu'il puisse ressentir autant d'amour pour un petit être, tant de tendresse et d'affection qu'il aurait déplacé le monde. Son fils, le sien. Sa peau, son sang, sa chair, son enfant qu'il tient dans ses bras. Si bien qu'il sent la terre s'ouvrir sous ses pieds pour un monde tellement beau. Le paradis existe il peut en être sur dorénavant.

Cesare Borgia n'a pas de chance, aucun ange ne c'est penché sur son berceau à sa naissance pour le bénir. Il l'a toujours su et le saura jusqu'à la fin des temps. Il est maudis, et pour ça il va détester le monde. Sa famille est devenue puissante, le nom Borgia est monté à Rome, assez pour que son père soit cardinal au Vatican. Seulement le pape se meurt, il est malade et va bientôt rejoindre le seigneur. Un nouveau souverain pontifical devra être élu, et cette place est à Rodrigo c'est certain. Mais les votes ne sont pas favorable, il va perdre et rien ne pourra changer ça, absolument rien.

Un matin le part rejoindre les cieux, le trône de Saint Pierre est désormais vide et donc vacant. Le conclave se met en place, les cardinaux se battent pour être élu. L'habitue presque. Pourtant Cesare sait que son père ne gagnera jamais, c'est impossible. Un espagnol sur le trône, ça relève du fantasme ! Dans un dernier geste de désespoir le jeune homme part chercher son fils, le soleil n'est pas encore levé. Il marche vite à travers les ruelles, il fait attention à ne croiser personne. Il part vers la forêt dans un coin reculé il pose l'enfant. Le soleil va se lever et l'éclairer, lui ôter la vie. Il est le fils de Cesare, vampire donc et l'astre de feu lui sera fatal. Il rentre au Vatican rapidement, les joues souillées de larmes rouges. Il sacrifie son fils pour les ambitions de son père, son enfant ne sera plus juste pour voir monter son paternel sur le trône de Saint Pierre. Il n'arrive pas à définir la douleur qui lui tord les entrailles, ça fait si mal qu'en arrivant dans ses appartements il se met à hurler comme un possédé. Il n'est plus que douleur, cries, pleurs, blessures.

Le lendemain Cesare sort enfin de sa chambre pour repartir en forêt, se pourrait il qu'il retrouve son fils vivant. Impossible certes mais avec de la chance, une infime petite chance, à peine... De loin il voit le linge qu'il à utilisé pour envelopper son enfant, il court aussi vite qu'il peut pour l'atteindre. Il  est roulé en boule et ne bouge pas. Il sait ce qu'il va trouver dedans pourtant il ose l'ouvrir. Face à lui un corps en cendre semble figé pour l'éternité. Au contact de l'air le reste de son enfant tombe en poussière alors que Cesare tombe au sol et se hurle comme une bête. Seigneur... Mais qu'est ce qu'il à fait ?




TITRE ❖ ARTISTE


☇ VOTRE HISTOIRE
“UNE PETITE CITATION COURTE ICI POUR FAIRE ZOLI ”

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Les cloches sonnent pour Borgia, son père vient d'être élu pape. Rodrigo Borgia se fera appeler maintenant Alexandre VI. Le sacrifice de son fils n'aura pas servi à rien. Le seigneur l'a entendu et à accordé cette faveur à Rodrigo. Cesare devrait être heureux pourtant il ne ressent rien, il vient d'être élu cardinal par son mère à seulement 17 ans. C'est à peine si il l'a remercié... Il lui fait honte il le sait. Son frère Perdo Luis est mort il y a de ça plusieurs mois. Tué par une flèche en argent, sans doute un vieux règlement de compte. Il n'a que ce qu'il mérite pour avoir tant été aimé par leur père. Cesare sent la haine tordre ses entrailles, lui n'est rien aux yeux de Rodrigo, seulement un enfant de plus qu'il à réussi à faire rentrer dans les ordres. Il n'est rien...


Cesare vient de tuer son frère Juan, il se tient debout face à son corps inerte. Il se réduit lentement en poussière sous les yeux du cardinal. Il vient de tuer son frère, le même sang que lui. Pour quel motif ? La haine, la jalousie... Il sentirait presque son corps battre, le plaisir d'avoir enfin réduis au silence ce frère qu'il n'a jamais aimé. Cesare soupire de bonheur et ferme les yeux, il respire à plein poumons et sourit avant de partir dans ses appartements le cœur léger. C'est bon, si bon cette colère enfin apaisée ! Dans la nuit noire il se met à hurler un nom, son nom de famille, Borgia. Il hurle à plein poumons, débordant de fierté. Il réveille sans doute du monde mais au fond il n'y prête même pas attention. Pourquoi ce geste ? Pour dire à tout le monde que maintenant Cesare Borgia est seul, et qu'il va prendre sa destinée en main.

« Il était la prunelle de mes yeux... » Son père part s'enfermer dans sa chambre en retenant à peine ses larmes. La prunelle de ses yeux... Cette phrase lui fait tellement mal, elle passe et repasse devant ses yeux, le rend ivre de haine. Il se mord la langue jusqu'au sang pour ne pas laisser exploser sa colère et hurler de rage. Ça fait mal, si mal que sa sœur vient passer sa main dans le dos tendu de son frère. Elle sent sa colère et essaye de le calmer. Sa douce sœur, jeune fille dont il à si souvent volé la vertu et l’innocence. Après tout sa perfection est appréciée seulement par son frère aîné.

Il entre d'un pas fracassant dans la salle de réception du palais apostolique. Il ne prête pas attention aux cardinaux qui discutent et qui osent le dévisager. « Père je démissionne. » Cette phrase lâché sans cérémonie claque dans l'air, jetant un silence de mort dans la pièce. « Tu ne peux pas... C'est un honneur cette fonction ! » Cesare sourit, d'un rictus mauvais. Il décidera de sa vie dorénavant, il est maître de son destin. « Ma décision est prise, rien ni personne ne pourra empêcher ma démission. Acceptez la. Merci père. » Il ne prend même pas la peine de baiser l'anneau royal et part de la salle de réception sans plus attendre. Rodrigo accepte tant bien que mal cette décision.

Nous sommes en 1492 et Cesare à 17 ans physiquement, 521 en réalité, il a vu tant de chose que maintenant il veut diriger sa vie. Chose qu'il va faire. Il va partir découvrir le monde pendant des années, si bien qu'à son retour en 1503 c'est un homme changé. Les choses vont mal au Vatican, son père est poussé vers la sortie par la menace. Les Borgia ont si mauvaise réputation que son père Rodrigo est forcé de quitter ses fonctions de pape. Meutre, trahison, inceste, vol, famine, corruption, sous le règne de Rodrigo Borgia l'Italie part à la déchéance, ce qui explique toute cette haine venant du peuple et de l'église. La rumeur de sa mort va courir, mais en réalité la famille Borgia va partir en Espagne se cacher. Il partent à Valence, la capitale Espagnole des vampires. Entre temps Cesare aura hérité de nombreux titres honorifiques, Duc de Valentinois, Duc de Romagne, Prince d'Andria et de Venafro, Comte de Diols, Seigneur de Piombino, Camerino, et Urbino, Gonfalonier, Capitaine Général de l'Église.


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Il est si fier de ça, il a tellement d’emprise qu'il va se faire une place à la cour espagnole. Le roi vampire va se prendre d'affection pour Cesare et donc, en faire un de ses favoris. Depuis 1507 Cesare se fait passer pour mort, une rumeur disant que son corps à été retrouvé dans un lac non loin de Rome. C'est impossible certes, mais grâce à ça il est tranquille et peut vaquer à ses occupations. Et d'occupations il n'en manque pas. En 1508 le roi d’Espagne meurt sous les dagues en argent de Rodrigo et Cesare Borgia. Le plus vieux des deux monte sur le trône pour régner en tant que roi, assouvissant son orgueil démesuré et encore une fois, rabaissant son fils qui aura sacrifié un ami pour les ambitions de son père. L'ancien roi n'ayant aucune descendance, ce sont ses plus proches conseillers qui reprennent le pouvoir. Après un habile coup d'état pour se rapprocher du défunt souverain bien-sûr.

Il ne voit pas que son fils prend de l'importance, de la force et surtout qu'il devient un homme sur de lui. Il change pour devenir le monstre qu'il est aujourd'hui. Avide de pouvoir, de meurtre. Quoi de plus beau que la mort ? De plus doux que la destruction. Son sport favoris ? La chasse, encore et toujours. Il aime tellement ça, ses mains baignent dans le sang de ses pauvres victimes. On ne les compte plus, si bien que ses appartements résonnent des cries d’agonie de ses pauvres esclaves. Il n'est pas rare de le surprendre dans sa chambre, assis devant un humain pendu au plafond. Alors dans ces moments là il vient lui trancher les veines des poignets, lui faire une fine entaille à la gorge et le regarde se vider de son sang pendant des heures. Son air fasciné fait frémir n'importe qui, même son propre père qui n'a plus aucune emprise sur son fils. Pour tout avouer il lui fait peur.

Peur n'est qu'un simple mot, c'est pire que ça encore. Il en vient à baisser les yeux quand il le croise dans les couloirs. Le roi baisse le regard devant le prince... Une chose encore jamais vue. Quand Cesare pénètre dans la salle du trône le silence se fait, les gens s'agenouille et d'un regard les conseillers frissonnent de peur. Le peuple le surnomme l'antéchrist, il est le diable en personne. Ce surnom veut tout dire sur son caractère et ses actes. Seule sa sœur parvient à calmer ce grand homme, en sa présence son cher frère perd son regard pourtant si froid. Elle le prend dans ses bras et caresse ses cheveux châtains, il se sent redevenir enfant. « Tu as les cheveux de notre mère mon cher frère. » Il acquiesce en silence et dépose un baiser sur sa joue. « Et toi la beauté de la déesse Aphrodite. » Elle rit alors qu'il la fait tourner dans les airs, légère comme une plume. Ce moment semble irréel, ils profitent l'un de l'autre, le temps passe mais eux ne bougent pas.

« Vous allez mourir père. » Le patriarche sursaute et relève les yeux pour croiser le regard menaçant de son fils. Il recule d'un pas alors que son enfant avance. C'est ridicule il est plus vieux, plus fort et pourtant il sait qu'il n'aura pas l'avantage. Son enfant est si déterminé qu'il sait d'avance qu'il ne s'en sortira pas vivant. 500 ans qu'il est roi, qu'il à tué le dernier souverain Espagnol pour prendre sa place. 5 siècle que son fils ne dit rien, qu'il prépare sa vengeance dans l'ombre. Qu'il nourrit tant de haine que ses victimes se comptent par millier. L'avenir lui sourit, il est récompensé pour sa patience, pour son fils, pour sa haine. « Cesare... Tu ne vas pas tuer ton père... » En quelques secondes il se retrouve avec une lame en argent contre le cœur, il n'est pas mort, pas encore mais ce n'est qu'une question de minutes voire de secondes. « J'ai tout fait pour vous faire honneur, pour vous rendre fier. J'ai brillé dans les arts, dans l'armée, dans la religion et pourtant je ne suis rien pour vous, rien dans votre regard. Il y en à toujours eu pour Pedro Luis et Juan... Vous voulez la vérité ? C'est moi qui ai tué Juan, c'était si bon père... » Ce dernier regarde son enfant d'un air horrifié. Seigneur, mais qu'est ce qu'il a engendré ? C'est ses dernières pensées avant que la lame ne s'enfonce dans son cœur et qu'il ne retourne à la poussière.


Il est aujourd'hui roi, un jeune souverain certes mais tout de même. Il n'a que ce qu'il mérite, c'est enfin une récompense. Son père est mort, sa sœur est à ses cotés et règne également en tant que reine. Il n'a aucun scrupule à tuer pour arriver à ses fins, il l'a prouvé et tuera encore si le besoin se fait sentir. Il se prépare à partir pour Heartkiller en visite diplomatique, sa tendre sœur devra régner sur l’Espagne pendant son absence. Il l'embrasse sur la joue et part d'un pas léger mais ferme vers la sortie du palais. Son visage d'ange se ferme pour une expression froide et neutre, il perd son sourire et ses yeux rieurs reprennent leur expression inquiétante. Les serviteurs s'agenouillent sur son passage et, alors qu'il avance dans le couloirs, sa silhouette semble se perdre dans les ténèbres et son ombre s’efface pour n'être qu'un souvenir.




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du 10 janvier au 28 février 1979
Les sorciers vivent dans la peur, le nom Voldemort étant murmuré avec terreur, remplacé par Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom . Il est dit que ceux qui auront l'audace de dire son nom seront attaqués. Pourtant, dans les rangs des Mangemorts la révolte gronde. Beaucoup se sentent abandonnés par leur maitre et les dernières attaques échouées ne font qu'affirmer le désir de trouver un nouveau leader . Pendant ce temps, Harry lance une chasse aux Horcruxes et lève une nouvelle armée dans l'enceinte de Poudlard afin de sauver son avenir, et changer le cours de son histoire.
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