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 T'challa - Prince of Paradise

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Date d'inscription : 04/08/2013

https://echo-flowers-alice.superforum.fr

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MessageSujet: T'challa - Prince of Paradise   T'challa - Prince of Paradise EmptySam 3 Aoû - 1:10


 
T'challa Y. Ngonzi
  Je suis complètement banal


 

 

 
Pseudo
: ici
Âge
: ici
Comment as-tu connu le forum ?
 ici
As-tu des remarques à faire ?  
 ici  
Fréquence de connexion :
 X/7 jours
un dernier mot ?  
ici

 

Code:
[b]Jason Momoa[/b] - T'challa Y. Ngonzi

 
crédit gif/avatar
:  ici

 

 
Carte d'identité
Prénom
: T'challa comme mon père avant moi et Yeckcim tel mon oncle, qu'elle blague.
Nom
: Ngonzi, le nom de la famille royale d'Eswatini
Date de naissance
: Un soir d'hiver, il y a maintenant 23 ans.
Nationalité
: Enfant d'Afrique, d'un petit pays que vous ne connaissez même pas. Mais je porte l'Angleterre dans mon cœur, car ce pays me permet d'être libre depuis quelques années.
Statut de Sang
: Mélange de sang, qui m'a donné un teint plus clair que les autres habitants de mon pays. Ma mère était Danoise, ce qui a expliqué que ma peau soit cuivre et non pas noire.
Métier/Maison
: Rafleur le soir, vendeur chez Barjow & Beurk l'après midi. Le matin, je dors alors autant ne pas me déranger chez moi.
Orientation sexuelle
: Profondément pansexuel. Je ne suis jamais tombé amoureux à proprement parler, je ne sais pas ce que ça fait.

  Un brin de magie :
Votre Epouvantard
 Un Nundu, l'une des créatures fantastiques la plus dangereuse qui existe. Il faut plus d'une centaine de sorciers pour maîtriser un Nundu à l'état sauvage.
Votre Patronus
 Un lama, c'est ridicule je sais et je n'ai toujours pas compris pourquoi mon patronus ressemblait à ça.
Votre baguette
26cm08, en bois de murier. Le cœur contient une dent de Nundu, évidemment.
L'amortencia :
L'odeur du sable, des makrouts et de la semoule au beurre.  
Particularité magique
 Aucune connue. Je sais loucher d'un seul œil et je peux toucher mon nez avec ma langue, ça compte ?  


 
Caractéristiques
Caractère
: J'aime pas qu'on vienne me chercher des noises c'est vrai, j'ai l'sang chaud et on dit souvent que c'est à cause de mon sang Africain. Quand on m'cherche, je pars si vite que j'me vois pas taper. A côté de ça j'suis une crème si tu prends l'temps de savoir comment me parler et comment me prendre. J'ai qu'une personne que j'aime dans ce monde, c'est mon petit frère et c'te tête à claque a toute ma dévotion. J'aime m'amuser, j'aime vivre mais j'ai toujours peur que la journée qui s'passe dans ma vie soit la dernière, à cause des hommes envoyés par mon oncle.  
Allégeance
: Je suis dans l'camp de celui qui paye bien. Je suis un rafleur, je traque des sorciers, je les capture contre des belles bourse de gallions et il y a que ça qui compte, au final. Pour l'moment c'est les mangemorts qui payent bien, ils ne regardent pas sur la dépense quand ils veulent quelqu'un. Alors j'soutiens la cause des mangemorts, pour l'moment. Et le jour où les gallions ne tomberont plus, j'me tournerais vers un nouvel employeur.    


 


Dernière édition par Admin le Sam 3 Aoû - 1:25, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: T'challa - Prince of Paradise   T'challa - Prince of Paradise EmptySam 3 Aoû - 1:17


   
Il était une fois
   une citation rapide

   
Il y eut un soir, il y eut un matin...

La veille, ta mère avait des contractions terribles qui la forçaient à se courber en deux. Elle priait tous les dieux de ce monde pour que ta venue ne soit pas trop tardive, pour qu'enfin tu pointes le bout de son nez car elle ne se pensait pas capable de supporter cette douleur. Pourtant elle l'a supportée, à ta naissance et à celle de ton frère. L'amour d'une mère est la chose la plus belle qui existe, la plus pure également et les mères ne se doutent pas de ce qu'elles pourraient faire par amour. Supporter les pires humiliations, les pires douleurs, les pires moments juste pour le sourire, un instant de leur enfant adoré. Tu es né la veille d'un jour de pluie. Deux heures avant que le jour se lève, tu es enfin venu au monde dans le palais dans lequel tu allais grandir. Un beau bébé, poussant des hurlements alors qu'autours de toi tout le monde riait, applaudissait et pleurait. Un fils, un premier héritier à la voix aussi forte que sa petite musculature déjà. Un bébé de 4 kilos, autant dire que ta douce et frêle mère a souffert lors de ta naissance. Ton frère lui, est né un matin aux alentours de huit heures. Au moment où ton père allait recevoir son conseil restreint afin de discuter des situations du pays, un majordome a été envoyé pour le prévenir que Yani, son deuxième fils allait arriver. La joie fut immense là aussi et tout le monde magique de votre petit pays d'Eswatini fut décoré pour sa naissance. Les deux princes, dont les trois années d'écart ne vous empêchaient pas de vous considérer comme des jumeaux.

Il y eut une rafale de vent, il y eut un éclair...

Ton frère avait peur de l'orage et il en souffre toujours. Mais jamais tu ne pourras oublier la première fois où il c'est glissé dans ton lit. Il venait de fêter ses quatre années et vos parents avaient décidée que maintenant, un petit prince ne pouvait pas continuer à dormir avec ses parents. Ainsi il a été envoyé dans sa propre chambre, avec l'ordre de se montrer courageux pour faire honneur aux siens. Sauf que ce soir là, la terre elle même semblait rire de cette situation car un orage a explosé. Et dans votre petit pays il n'était pas rare que l'été, des orages plongent vos nuits dans des scènes digne d'une fin du monde. Rien de dramatique pour toi qui te vantais à qui voulait bien l'entendre, que tu n'avais peur de rien. C'était faux évidemment, mais un fils héritier ne pouvait pas avoir de peur, ce n'était pas convenable comme ton père le disait souvent. Ce soir là tu dormais, nullement dérangé par l'orage quand la porte de ta chambre c'est ouverte. Tu as tout de suite reconnu le bruit des petits pieds de ton frère sur le parquet de ta chambre, et tu as reconnu le bruit de la cloche accrochée à son doudou qui ressemblait, autrefois, à un Nundu. Il a grimpé dans ton lit, il est venu contre toi et il n'a plus bougé. « T'es pas trop grand pour avoir peur de l'orage ? » Il ne s'attendait pas à ce que tu sois réveillé. Tu t'es tourné vers lui avec un sourire, alors qu'il a ôté sa sucette qu'il n'avait que pour dormir, le soir. « T'es pas un peu grand pour pozer des queztions connes ? » Il n'avait pas le droit de parler comme ça et ne s'y amusait pas devant vos parents, mais il vous arrivait souvent de traîner en cuisine et les cuisiniers n'avaient pas leur langue dans leur poche, eux. Alors vous aviez tendance à user du même langage vulgaire qu'eux, même si cela restait évidemment un secret entre vous deux. Tu as souris ce soir là avant de le prendre contre toi et de lui promettre que tu serais toujours là, les soirs d'orage.

Il y eut un jour, il y eut une nuit...

La veille du drame, vous étiez dans les rues non loin du palais pour vous promener. C'était quelque chose que vous faisiez souvent, de vous mêler à votre peuple pour tout connaître de ces gens, leurs habitudes, leurs rêves, leurs espoirs. Tu adorais cela et tu pensais souvent qu'en tant que futur roi du monde magique d'Eswatini, ce dernier ne devait avoir aucun secret pour toi. Cet après midi là, l'entente était bonne enfant. Ton frère était avec toi comme toujours et vous veniez de vous arrêter dans une petite échoppe pour avaler une boisson régionale, à base de lait de vache, de miel et d'épices. Ce jour là, vous étiez encore des princes, des enfants adorés et adorables par vos parents. Vous êtes rentré chez vous, vous avez mangé un morceau avec vos parents et vous êtes partis vous coucher. Quand on vous a réveillé quelques heures après, c'était pour vous annoncer un terrible coup d'état orchestré par votre oncle mais aussi, la mort prématurée de vos parents. Votre oncle a juré que c'était un accident mais toi, tu savais bien que les corps de tes parents que tu as vu de tes propres yeux, étaient rongés par la magie noire. Ce soir là tu as été obligé de fuir avec ton frère, aidé par quelques fidèles de tes parents. Tu ne pouvais pas t'opposer à ton oncle, pas encore. Tu n'étais qu'un jeune sorcier apprenant la magie avec des précepteurs, car il ne fallait pas vous faire courir de risque en vous envoyant à Uagadou. Peut-être que cela aurait été mieux pour vous. En tout cas, ce soir là vous avez oublié votre statut de prince, pour devenir des fugitifs. Et vous cacher dans l'ombre. Votre oncle est devenu roi, volant ta couronne qui te revenait de droit. Tu n'as rien pu faire, pour la vie de ton frère et la tienne il vous fallait rester caché. Alors les sympathisant de vos parents vous ont caché dans le sud de la France, à Beauxbatons et vous ont demandé d'être discret, qu'ils allaient donner des nouvelles et revenir. Mais ils ne sont jamais revenus.

Il y eut une chute de neige, une tempête...

L'Angleterre est un beau pays, le seul qui a accepté de vous ouvrir les bras quand les hommes de votre oncle vous ont trouvés en France. Vous avez fuis, laissant tout ce que vous aviez en France pour rejoindre Londres. Vous avez pris les petits chemins, le voyage fut long et difficile et plus d'une fois, tu t'es demandé si Yani n'allait pas te demander de l'abandonner. Il te semblait que lui n'avait connu que ça depuis des années, la fuite et la crainte de se faire attraper. Et puis il avait souffert ton frère, il y a quelques semaines de ça les hommes de ton oncle avaient réussis à presque mettre la main sur vous. Yani s'en est sorti avec la gueule en biais et toi, avec une cicatrice importante à l’œil droit. La marque ne partira jamais, qu'il t'a dit le médicomage. Mais en Angleterre vous avez trouvé un petit coin tranquille pour y vivre, une vieille maison entourée d'une forêt et de quelques manoirs de sang-pur qui ne vous voyaient même pas. Yani a terminé sa scolarité à distance pendant que toi, tu travaillais pour vous permettre de vivre. Tout ce qui te passait sous la main pour offrir à ton petit frère de quoi se remplir le ventre chaque jour. Rien n'était trop beau, t'as appris le goût de l'effort et t'as su aussi, que tu n'voulais pas te tuer à la tâche dans les années à venir. Pas que tu n'aimais pas l'effort, seulement tu n'te voyais pas te perdre dans les bureaux du ministère pour un salaire de misère et une reconnaissance quasi inexistante. Alors un jour que tu terminais une après midi de boulot dans la boutique de Barjow & Beurk, un sorcier est venu te proposer quelques gallions pour aller casser l'nez d'un autre sorcier. T'as accepté sans rechigner, une belle somme ça n'se refuse pas. Et c'est comme ça que t'as été approché par les rafleurs qui avaient besoin de monde. T'as pris quelques galons et t'es maintenant bien placé dans ton petit groupe. Yani vous a rejoint, même si tu n'étais pas d'accord mais tu dois accepter que ton petit frère est un homme maintenant et qu'il peut se protéger lui même.

Il y eut un rayon de soleil, une pluie fine...

T'as pas cessé depuis toutes ces années de te renseigner sur l'Eswatini, priant pour que ton oncle ne soit jamais père d'un fils et de ce fait, d'un héritier. Mais pour l'moment il n'a eut que des filles et il s'fait vieux, peut-être que le vent va tourner en votre faveur. Tu n'attends que ça, observant d'loin et cherchant le bon moment pour sauter sur l'occasion de rentrer chez vous, afin de redevenir les princes d'votre royaume. Tu attends, t'es patient. Mais jusqu'à quand ?  


   
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du 10 janvier au 28 février 1979
Les sorciers vivent dans la peur, le nom Voldemort étant murmuré avec terreur, remplacé par Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom . Il est dit que ceux qui auront l'audace de dire son nom seront attaqués. Pourtant, dans les rangs des Mangemorts la révolte gronde. Beaucoup se sentent abandonnés par leur maitre et les dernières attaques échouées ne font qu'affirmer le désir de trouver un nouveau leader . Pendant ce temps, Harry lance une chasse aux Horcruxes et lève une nouvelle armée dans l'enceinte de Poudlard afin de sauver son avenir, et changer le cours de son histoire.
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