AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Partagez
 

 Sol !

Aller en bas 
AuteurMessage
Manon
Manon
Messages : 7
Date d'inscription : 01/08/2019


Sol !          Empty
MessageSujet: Sol !    Sol !          EmptyDim 6 Oct - 21:48


     
Solstice E. Winchester
     une citation rapide


     

     

     
Pseudo
: ici
Âge
: ici
Comment as-tu connu le forum ?
 ici
As-tu des remarques à faire ?  
 ici  
Fréquence de connexion :
 X/7 jours
un dernier mot ?  
ici

   
   
Code:
[b]Alvaro Rico[/b] - Solstice E. Winchester

     
crédit gif/avatar
:  ici

     

     
Carte d'identité
Prénom
: Solstice, une belle blague. Mais pas autant que ton second prénom, Equinoxe. Ouais, tes parents ont osés.
Nom
: Winchester, d'un nom qui a d'la gueule en Amerique. Qui n'connait pas les fusils Winchester ?  
Date de naissance
: Un 23/09 il y a de ça 16 ans
Nationalité
: T'es né pas loin de Londres, t'es Anglais et tu n'cherches pas plus loin.
Statut de Sang
: Mélange de sang qui te rend impur, pas que ça te dérange.
Métier/Maison
: C'est chez les Poufsouffle que t'as été accueillie comme un roi.  
Orientation sexuelle
: Pansexuel, tu aimes les gens et pas leur sexe.

      Un brin de magie :
Votre Epouvantard
 Avant t'avais peur d'te retrouver tout seul, puis ton épouvantard a pris la forme de la mort elle même, représentée par une lumière au bout d'un tunnel. T'as frôlé la mort et ça t'a marqué.
Votre Patronus
Une belle petite hermine blanche avec le bout de la queue, noire.  
Votre baguette
Un bois de santal, qui lui donne un air sombre. Très flexible, 24cm87. Le cœur est composé d'une griffe de Sphinx.  
L'amortencia :
L'odeur d'un vieux manoir, mais aussi de chocolat et un je ne sais quoi d'indécision.   
Particularité magique
Aucune connue.  


     
Caractéristiques
Caractère
: On disait de toi que tu étais gentil à n'en pas douter. Que tu étais toujours prêt à aider quiconque, que tu pouvais tendre la main à n'importe qui. Que t'étais malin et intelligent, que t'avais toujours l'nez en l'air à regarder le ciel ou bien à lire un livre. T'étais un gentil gars, mais t'es devenu effacé, quand t'as découvert l'amour et la douleur qui l'accompagnait. T'es devenu plus froid, plus éloigné d'tout et de tout le monde, ne vivant et ne voulant qu'un seul être qui lui, n'te voulait pas tant que ça. T'as appris à souffrir, t'as appris à accepter, te disant après tout que tu n'étais bon qu'à ça. Toi, que tes parents avaient brisés pendant trop longtemps. T'as des failles, plus grosses que toi et t'es fragile, à n'en pas douter.  
Allégeance
: La guerre tu n'y comprends pas grand chose et c'est quelque chose que tu vois de loin. Les sang-purs qui s'pensent supérieur tu ne leur dis rien, comprenant qu'ils sont les aristocrates du monde magique. En revanche t'as du mal à comprendre comment ils peuvent avoir tous les droits dans c'monde, comme celui d'briser quiconque croise leur route. Comme si l'fait d'être pur leur donnait un avantage, de massacrer ou d'tuer quiconque ayant l'malheur de croiser leur regard. Alors si tu devais choisir, tu combattrais contre eux sans doute.  


     


Dernière édition par Manon le Dim 6 Oct - 21:56, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Manon
Manon
Messages : 7
Date d'inscription : 01/08/2019


Sol !          Empty
MessageSujet: Re: Sol !    Sol !          EmptyDim 6 Oct - 21:51


Il était une fois
une citation rapide

T'es né dans la douleur, au milieu d'une famille étrange, un peu déchirée. Ta mère enfilait des pillules comme des bonbons, fumait toute la journée de l'herbe qui crépitait entre ses doigts et qui était la plupart du temps, stone. Elle avait une sale haleine de vodka ta mère, quand elle buvait pas du vin rouge qui tâche, parce qu'elle avait plus l'argent pour acheter son précieux alcool Russe. Ton père lui, était un étranger et l'est toujours, dans ta vie. Il partait retrouver ses maitresses, revenait auprès d'ta mère deux mois, trois tout au plus et repartait quelques semaines. Il a fait ça tout l'temps où tu as été chez tes parents. Ton père était sorcier, un sorcier médiocre cependant, qui n'se servait de sa baguette pour allumer ses joints et qui, la plupart du temps, s'enfilait de la drogue magique dont tu fuis les effets aujourd'hui. Tes parents, c'est deux étrangers dans ta vie. Ils n'étaient pas capable de s'occuper de toi alros t'as appris à te débrouiller seul, tu as commencé à aller à l'école moldu tout seul, tu t'habillais seul, tu te faisais à manger seul et quand t'avais besoin de fournitures, de fringues, t'allais leur piquer de la monnaie pour t'en acheter. Seul, encore. T'étais débrouillard, mais un jour une maîtresse d'école a commencée à s'poser des question sur toi. Un p'tit gamin qui arrivait toujours tout seul, qui portait parfois des fringues pas très propre, qui sentait l'tabac froid et qui mangeait pas l'midi parfois, car il n'pouvait pas. Ca a mis la puce à l'oreille de cette maîtresse et elle a dénoncée tes parents. Tes braves parents, qui n'ont même pas protesté quand les services sociaux t'ont emmené, pour te confier à l'être le plus gentil, le plus doux, le plus tendre que t'as jamais rencontré, ta grand mère. T'avais 7 ans et enfin, t'étais aimé.

Elle t'a offert un foyer, des câlins que tu n'connaissais pas. Elle t'a permis d'te remplumer car t'étais maigre, de bien travailler à l'école. T'étais toujours propre avec elle, tu n'sentais plus le tabac froid et le midi, t'avais toujours un bon sandwich dans ton sac avec une pomme, t'adorais les pommes. Cependant un soir où t'étais à table, t'as donné un coup de coude dans un verre et au lieu qu'il ne s'écrase au sol, il est revenu sur la table sans que tu ne le touches. Elle t'a expliquée calmement ce que tu étais, un sorcier comme ton père et surtout, un sacré bon sorcier. T'as avoué que ces petits tours, tu savais en faire depuis longtemps mais tes parents ne les avaient jamais remarqués, c'est qu'ils étaient trop défoncés pour faire attention à quoi que ce soit. Elle t'a avouée aussi qu'elle était cracmol elle, qu'elle n'avait pas de magie en elle et que cette dernière avait sautée une génération, allant directement avc ton père, son fils. Alors elle t'a demandé d'être prudent, de ne pas montrer ça à tout l'monde car les moldus ne comprendraient pas. Puis elle t'a offert quelques livres sur la magie en te demandant de bien travailler, parce que t'allais devenir un bon sorcier, un grand magicien et qu'elle voulait que tu sois déjà au summum de tes connaissances en arrivant à Poudlard. T'as travaillé, tu voulais la rendre fière ta grand mère. Elle était si douce, si tendre avec toi, tu voulais vraiment qu'elle soit heureuse de t'avoir avec elle. En parallèle t'étais un gentil gamin, un peu trop renfermé sans doute et elle a décidée d'te mettre, vers tes 8 ans, à la boxe. Au début t'avais peur de rendre les coups puis petit à petit t'as apris à l'faire, t'es devenu bon dans ce domaine, tu savais encaisser et t'avais pas peur d'te défendre. Mais en dehors de la salle d'entraînement t'étais toujours un gamin discret, ce qui n'a pas changé.

Jusqu'à tes onze ans, jusqu'à ce que tu reçoives ta lettre, ta vie fut douce. Puis quand tu as reçu ta précieuse lettre pour Poudlard, ta grand mère était si contente. Elle t'a accompagné pour acheter tes fournitures, lentement, parce que sa santé était plus fragile depuis l'hiver dernier. Elle avait souffert d'une violente grippe et avait du mal à s'en relever. Elle t'a accompagnée l'jour de la rentrée, jusqu'à la gare et elle t'a glissée dans la poche, une petite bourse de gallions. Pour tes petites folies, qu'elle disait. Tu l'aimais tellement ta grand mère, que ça a été un déchirement de lui dire au revoir. Mais t'étais heureux d'aller à Poudlard alors, t'es monté dans le train quand même et t'as fait le premier voyage de ta vie. Toi qui n'étais jamais sorti de Londres, c'était un chamboulement intégral. T'as découvert le château, immense et imposant. T'as découvert le choixpeau, qu'on t'a posé sur la tête et qui a hurlé que tu allais rejoindre la maison des jaunes et noirs. Puis ta scolarité a commencée et t'as brillé, presque tout d'suite. T'avais le goût du travail bien fait alors, tu passais plus de temps que les autres à lire, à travailler. Là où la plupart râlaient contre les cours, les professeurs, toi tu trouvais ça cool. C'est que tu avais conscience d'ta chance, alors qu'on tu vivais dans la misère avant d'rejoindre ta mamy, maintenant tu pouvais vivre et profiter d'ta vie de gamin. La première année fut une réussite et le premier été d'ton retour, t'as compris que ta grand mère allait mal.

Elle était âgée, plus de 80 ans et épuisée d'une vie de travail à l'usine. Alors t'as été là pour l'aider à prendre soin d'elle, t'avais l'habitude après tout. Et quand t'es reparti à Poudlard pour ta deuxième années, il a fallu un mois avant que Dumbledore ne te fasse venir dans ton bureau un matin, pour t'annoncer que l'corps sans vie de ta grand mère avait été retrouvé. Elle est morte dans son sommeil, elle n'a pas souffert et t'as remercié Merlin de lui avoir offert une morte sans douleur. Mais cette perte a signé sans douce ta petite descente aux enfers. T'es retourné l'été suivant chez tes parents, qui n'te voyaient même plus. T'étais là ou pas, c'était pas leur problème. T'avais de la rage contre eux alors pour éviter d'leur taper dessus, t'es reparti faire de la boxe dans un club illégal. Tu gagnais un peu d'fric en défonçant les tronches des gamins de riche qui voulaient un peu de sensations fortes. Ca te permettait de t'offrir de quoi t'faire plaisir. Puis t'es rentré en troisième années et on t'a convoqué encore une fois,mais cette fois-ci à la banque. On t'a annoncé que t'étais le seul bénéficiaire de l'héritage de ta grand mère et que son coffre, à Gringott's, était plus que plein. Ta grand mère, se sachant cracmol, n'voulait pas vivre avec de l'argent magique et elle a préférée travailler toute sa vie pour gagner son argent moldu. C'était honorable, mais cela l'a épuisée et tu t'es demandé si elle ne serait pas encore là, si elle avait utilisée cet argent. En tout cas, ça faisait d'toi un gamin riche, presque autant qu'les autres, quand t'as appris aussi que ton arrière grand père était sorcier et qu'il avait laissé à sa fille, ta grand mère, une belle fortune qui n'avait cessé de grossir avec les intérets, depuis. Il était lui même un Winchester et t'as appris qu'il avait le descendant d'une grande famille Américaine, fabriquant des fusils à l'époque de la conquête de l'ouest. Si les fusils avaient massacrés des indiens, t'as aussi appris qu'ils avaient produit une fortune considérable qui te revenait aujourd'hui. Et qu'il existait le manoir de Sarah Winchester en Amérique, ton ancêtre un peu allumé. C'est ce que tu t'es dis quand t'as vu des photos du manoir en question. Enfin, t'as demandé à changer d'nom, prenant celui de jeune fille d'ta grand mère pour définitivement couper avec ce père absent. Et puis pour faire honneur aux Winchester, pour rendre hommage à cette grand mère qui t'avait aimé, la seule sur cette terre. Ca a été accepté par l'état civil et cette année là t'es retourné en cours avec un nouveau nom, un compte plein et la possibilté d'avoir un avenir. C'est aussi cette année là qui a signée ton futur arret d'presque mort.

T'as croisé l'regard d'un beau mec, qui était si charmant, qui avait un sourire si beau, que t'en as eu l'souffle coupé. Tu l'avais déjà vu ce Regulus Black, mais tu l'as redécouvert cette année là. Il était plus vieux que toi d'une année et t'as pris ton courage en main pour lui avouer. T'sais pas comment t'as pu l'faire mais tu te revois, lui avouer qu'il t'fait craquer. Et son baiser, l'meilleur de ta vie. Sa bouche chaude sur la tienne, la chaleur d'sa langue qui caresse tes lèvres. Et son rire, alors qu'il est reparti dans son coin, finir sa vie, alors que t'avais l'coeur qui battait trop fort. L'année suivante, à la rentrée, tu pensais aller l'revoir pour lui demander si c'baiser était le seul où si tu pouvais en imaginer d'avantage mais... Il avait changé. Il était devenu sombre Regulus, si sombre que t'en avais peur toi même. Alors tu t'es effacé pendant une année, l'voyant de loin sans oser prendre place auprès d'lui.

Mais un soir, au début d'ta sixième année, là où tu es actuellement, t'as croisé un Regulus en larmes dans les couloirs. Lui étais en 7eme années, toi t'étais préfet et tu faisais ta ronde. Sauf que t'as essayé de lui parler, de comprendre ce qui n'allait pas.L'voir dans cet état te faisait si mal, que tu lui as proposé d'vous retrouver pour en parler encore. Une fois, deux fois, jusqu'à ce qu'il vienne t'arracher un délicieux baiser en te plaquant contre un mur, pendant une de tes rondes. Un baiser, une nuit torride. Puis il t'a oublié deux jours, avant d't'embrasser encore, jusqu'à t'faire mal, jusqu'à t'mordre les lèvres au sang. T'étais déjà accro à ses baisers, quand il t'a balancé des premières horreurs au visage. Que t'étais rien, qu'il ne t'aimait pas, qu'il n'te voulait pas, que tu n'serais jamais pour lui. Au début tu répondais pas, puis un jour t'as craché toi aussi ton venin et il a frappé. T'as été choqué au premier coup. Mais il c'est excusé une fois, deux fois, il a frappé encore les fois suivantes, t'as pardonné parce qu'il était en pleur la seconde d'après. Et puis il frappait, plus tu lui trouvais des excuses. Tes amis avaient bien vus que quelque chose n'allais pas, que tu rentrais tard et avec des marques, que ta lèvre était souvent fendue, que t'avais les poignets rouges d'avoir été trop serré. Ils ont vus, mais tu leur demandais de ne rien dire. Neals surtout, il voyait plus que les autres. Parfois il te passait du baume sur le visage, parfois il était juste là avec une boite de chocolats pour te remettre l'sourire sur les lèvres. Tes lèvres ouvertes et en sang.

T'as finis par comprendre pourquoi il avait la rage, parce qu'il n'te voulait pas toi, qu'il voulait un asiatique qui n'le regardait plus. Là où ils étaient proches avant, Oswin n'était plus le même et t'as compris que quelque chose n'était plus comme avant. Quand t'as demandé à Regulus ce qui c'était passé, t'as été envoyé sur les roses, t'as eu un semblant d'réponse puis il a frappé encore, encore et encore. T'as commencé à rendre les coups, mais plus tu rendais plus il frappait, plus il insultait. Toi, tu t'étégnais. L'beau Sol vibrant comme un soleil, ne devenait plus que l'ombre de lui même. Neals te demandait ce qui s'passait, tu refusais de répondre.

Jusqu'au soir où la dispute a été encore plus violente que les autres, où il a frappé jusqu'à t'envoyer dans un mur, pendant une de tes rondes. T'es tombé contre le mur tête la première, tu saignais alors qu'il te frappait. T'étais dans un entre-deux, dans un monde que tu n'pensais jamais voir. Tu t'souviens d'avoir pensé que c'était la fin, que tu allais crever comme un con dans un couloir, sous les coups d'ton amant que tu avais pas su arrêter, fuir, ramener vers la lumière. Tu t'souviens d'avoir pensé que t'avais échoué, que tu voulais lui rendre le sourire et que tu n'avais fait que l'rendre plus agressif encore. Il a frappé avant de s'arrêter, t'as entendu des éclats d'voix. T'étais par terre en sang, l'nez ne ressemblant plus à rien, les yeux au beurre noir à force d'avoir été frappé. Les arcades ouvertes, la machoire ouverte aussi, une dent en moins et des marques partout. T'avais mal... Mais t'as entendu Regulus, t'as entendu sa voix qui proposait à son ancien amant, à Oswin, d'te laisser là. Te laisser là, te vider d'ton sang, crever comme un con ici. Il voulait t'laisser, lui que t'as tant aimé. Qu'importe ton destin, comme il disait. Que quelqu'un d'autre s'chargerait de toi. Ce soir là, à onze heure du soir, personne n'pouvait te trouver. Il l'savait, il s'en foutait. C'est la dernière chose que t'as entendu avant d'sombrer.

Tu t'es reveillé une semaine après, le visage plein de pansements, l'nez encore rouge et douloureux, la bouche pâteuse et le cœur en vrac. Neals était là, avec ses chocolats, ses fleurs, sa douceur. T'as pleuré dans ses bras, longtemps, sans lui expliquer ce qui c'était passé, qui avait osé te faire ça. T'as pas osé... Mais t'as juré d'te venger. T'as pas oublié malgré ton coma, les mots de Regulus. Qu'importe ton destin, qu'il disait. C'était lui ton destin, mais maintenant t'as juré d'te venger. T'as plus rien en toi, ton cœur n'est plus qu'une plaie béante. De rage, d'colère. T'as perdu ton amour en même temps que ton sang qui coulait au sol... Mais t'as gagné en force et en colère.


Revenir en haut Aller en bas
Admin
Admin
Admin
Admin
Messages : 95
Date d'inscription : 04/08/2013

https://echo-flowers-alice.superforum.fr

Sol !          Empty
MessageSujet: Re: Sol !    Sol !          EmptyLun 7 Oct - 13:18

J'le baise.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Sol !          Empty
MessageSujet: Re: Sol !    Sol !          Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Sol !
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum de test  :: Maraudeurs ERA :: Maraudeurs Era - les couleurs-
Sauter vers:  
Gazette du Sorcier
du 10 janvier au 28 février 1979
Les sorciers vivent dans la peur, le nom Voldemort étant murmuré avec terreur, remplacé par Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom . Il est dit que ceux qui auront l'audace de dire son nom seront attaqués. Pourtant, dans les rangs des Mangemorts la révolte gronde. Beaucoup se sentent abandonnés par leur maitre et les dernières attaques échouées ne font qu'affirmer le désir de trouver un nouveau leader . Pendant ce temps, Harry lance une chasse aux Horcruxes et lève une nouvelle armée dans l'enceinte de Poudlard afin de sauver son avenir, et changer le cours de son histoire.
Maraudeurs a 4 ans !
Venez fêter son anniversaire avec nous !
Cours de DCFM
Noël aux trois balais
Votre sujet ici